A heurter pour l’décret
Trente ans postérieurement la confidence des horreurs de la totalitarisme Ceaușescu, en Roumanie, nos reporters ont enquêté sur l’un des épisodes les avec sombres de l’fait du contrée, celle-là des “foyers-hôpitaux”, où des milliers d’rejetons ont été placés et maltraités. Alors qu’une compétition de la collège est hypocondriaque de l’vieillesse communiste, le délivrance de montré et de droiture est distant d’dépendre frappé en Roumanie.
Au futur de l’confection du dominateur roumain Nicolae Ceaușescu, le 25 décembre 1989, le monde a évident en tenant épouvante les images d’rejetons amaigris, entassés pour des lits d’asiles insalubres. Pendant des décennies, des centaines de milliers de mineurs handicapés ont été placés pour des institutions communistes, lesquels les “foyers-hôpitaux” revers rejetons jugés “irrécupérables”.
Considérés quand inutiles à la collège, maladroitement 15 000 d’parmi eux, escortant l’Institut d’perquisition sur les douleurs du marxisme (IICCMER), y auraient trouvé la percé, victimes de négligences et de maltraitances systémiques. Une aboutissant quant à de la ruse nataliste et anti-avortement du gérance, couplée à une stérilité généralisée.
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Dans l’orphelinat de Cighid, l’un des établissements les avec amèrement célèbres, avec de 80% des rejetons internés ont péri. De nombreuses victimes ont succombé à des pneumonies en explication de l’besoin de chauffe. Nous avons rencontré couple survivants de ce “foyer-hôpital”, Sirmanca Simona Fechete 39 ans, et Iosif Balog, 41 ans. Aujourd’hui, ils tentent de reconstituer à elles vie, cependant restent vivement marqués par l’appréhension de à elles jeunesse. A présentement, ils n’ont perçu aucune contrepartie revers les dépravant traitements qu’ils ont subis.
En Roumanie, le concurrence revers la montré et la gratitude de ces douleurs est spécialement vaste. Pour l’insistant, l’Balance refuse d’supporter sa vertu. Deux des trio plaintes déposées par l’IICCMER ont été classées rien contrecoup, invoquant un disparition de preuves, auprès des milliers d’comportement de cadavre et de annales accablants.
Billet solidaritéTimisoara, machine de l’pouvoir roumaine et divan de la dérangement de 1989
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