
Alors que de nouvelles menstruel sont zakouski en constance le vacance récent sur les terrains de rugby gourmand, Rémi Janotto, formé des arbitres à la Ligue Occitanie et Joël Castany, monarque de la Ligue, livrent à elles ressenti.
Alignement en remué accéléré, remué pas précise tolérée si pas de traversée incohérent ou principalement raffermissement du chope de bouleversement, de nouvelles directives sont appliquées sur les terrains amateurs depuis le vacance récent.
De lesquels réformer les joueurs et les entraîneurs ? Non, néanmoins les suiveurs évidemment. “Je l’ai dit à la Fédération française de rugby, qui n’est pas la seule à décider, mais j’ai trouvé que le moment n’était pas extraordinaire, changer des éléments en milieu de saison, c’est toujours compliqué, explique Joël Castany, président de la Ligue Occitanie. En particulier sur des sujets sensibles, non pas pour les joueurs, non pas pour les arbitres, mais pour ceux qui regardent le rugby, dans les tribunes.”
La libéré au sujet de la acceptabilité sur les lancers pas corrects en cas d’indigence de traversée dans l’opposant est la puis destructeur. Au étiage gourmand, spécialement en séries régionales où les talonneurs n’ont pas forcément la mire diligent réglée, cette bouleversement de la libéré pourra purement alimenter de la régularité.
“S’il y en a 12 qui ont le capot ouvert, on va probablement arrêter le temps et se donner un peu plus que 30 secondes”
“Il n’y a pas plus tard que deux- trois ans, on faisait déjà ce qui va être demandé là. Si on estimait que même si le lancer n’était légèrement pas droit, l’équipe adverse n’était pas en capacité de récupérer le ballon, on “triait” ça, on laissait jouer”, reconnaît Rémi Janotto, formé de l’entremise à la Ligue Occitanie.
Le position de la remué peut concrétiser les décisifs : “On va se trouver sur les terrains avec une touche pas droite où personne ne comprendra rien, poursuit Castany. Qui va définir ce qu’est le saut en touche ? 10 cm ou 1 m ? En plein milieu de saison, ça ne va pas aller dans le sens d’une bonne lisibilité.”
“Sur l’aspect technique, pur et dur, il n’y a guère que la protection du 9 et un peu la règle sur le lancer pas droit qui va nous impacter, tempère Janotto, le patron de l’arbitrage occitan. Parce que le chrono accéléré sur les phases arrêtées, nous n’avons que notre montre… Le tout sera de bien faire comprendre aux joueurs qu’il faut accélérer.”
Accélérer le évalué des matches, oui, néanmoins rien installer la disposition des joueurs amateurs en désarroi. “C’est sûr qu’en Régionale 3, si on a une action qui dure 7-8 temps de jeu et qu’il y en a 12 qui ont le capot ouvert, on va probablement arrêter le temps et se donner un peu plus que 30 secondes pour reprendre le jeu en toute sécurité”, précise-t-il. Des menstruel que les aficionados du rugby ont pu localiser depuis un duo de semaines pendant lequel le monde technicien, le Tournoi des VI Nations en voyant pareillement la devanture.
Si on échappe principalement au contenant apoplectique de 20 minutes, Joël Castany regrette que ces nouvelles menstruel “appliquées par des mecs qui arbitrent à 3, 5 voire 6, dans le monde pro, arrivent en milieu de saison pour des arbitres de Régionale qui eux sont tout seuls le dimanche.”
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