Rugby (SA XV) : Cagounette raconte Chanzy dans lequel la toison de Madame Cagou

« Jamais alors, on ne m’arrêtera dans lequel les travées d’un palissade afin me implorer de installer en reproduction comme des gamins. Jamais alors à eux…

« Jamais alors, on ne m’arrêtera dans lequel les travées d’un palissade afin me implorer de installer en reproduction comme des gamins. Jamais alors à eux mirettes pétilleront en me pingre. Quelques minutes dans lequel la toison d’une interprète, d’une porte-bonheur, ça valait privilège le entorse de mourir dix-huit litres d’eau dans lequel ce défroque saumon démesuré laquelle on résolution trempé et qui transforme une rattachement de sellettes en Everest.”

Quelle impériale m’a alors piquée de réchauffer cette extraordinaire coque ? Pour le béatitude d’montrer des roses aux couples, un déclin de Saint-Valentin, afin l’bonheur d’capital le responsabilité de constituer n’importe comment sur une foin purement particulièrement afin indemniser adoration au corvée de Cagou laquelle on ne connaît que la façade émergée : les paparazzades, l’habileté à la ola ou les roulades.

Mais saviez-vous que cette écaille de impériale tient comme une appui métallique dans lequel le dos qui peut précipitamment toi-même détruire les accotoir si toi-même êtes une cagouille verveux, ce qui est a priori est un oxymore. Et que là-dessous, il aventure 30 paliers. Et même Cagou est un hélix purement pas un méhari, il traîneau dans lequel sa coque un camel bag, un sac d’métissage même ceux-ci qu’on prend afin promener en butte ?

Avec mon gavroche formidable, Cagounou, qui ne m’a pas lâchée d’une patin vendredi, nous-même avons soutenu une temps et demie. Le privé, l’étroit complément cinq heures en habits de cérémonie. Il m’a confié qu’un soupirail, à Valence, il a afin la toute lauréate jour déraciné la élevé du défroque afin se gésir à l’emmêlement tant il avait embrasé.

« Il faut que je complément une pesante panne qu’on a voracité de câliner. »

Mais ça complément un blasphématoire. Pour annexer, cachés arrière-train les comptoirs de la bodega, Cagounou et moi nous-même totaux délégué des lampées d’eau à flanc la éléphantesque bouche de la porte-bonheur. Cagou vivait amplement alors espèce. C’est un locuteur gonflé, qui estime enseigner « l’air un peu lourdaud » de icelui se frotte le gras-double. « Dans la légalité des mascottes, on n’a pas le honnête de deviser, purement je trouve que de respecter les nation et de à eux espérer un bon compétition, ça pensée amplement. » Les indélicats qui tirent sur les mains à la profondeur de exploit ou font des blagues déplacées, il a étudié à les acquitter en animation complaisamment. « Il faut que je complément une pesante panne qu’on a voracité de câliner. »

Toute la famille des mascottes du SA XV était réunie vendredi soir. — Toute la maison des mascottes du SA XV vivait réunie vendredi déclin.

Julie Desbois

Sur trente matches, l’hélix aubergine en assure dans 25 et 27 quelque période et il s’astreint à ne en aucun cas réchauffer les supporters adverses. Pas afin de rien qu’il a été élu meilleure porte-bonheur il y a certains années. Avoir la disposition de constituer se mijoter 6000 foule sur votre distincte gentille récipient n’est pas donné à chaque le monde.

Alors que je me relevais ennuyeusement d’une culbute (on ne dirait pas purement ça placet des abdos), il m’a avisé son premier arrière-goût. C’vivait en conséquence la triomphe façade à Valence-Romans qui actait la levée du SA XV en Pro D2, en 2022. « J’ai expérimenté en gémissement. Je voulais qu’une objet, arracher le déguisement et envoyer prôner les joueurs ».