Le monarque ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s’entretenait à Ankara revers le monarque ottoman Recep Tayyip Erdogan, a montré des discours “sur l’Ukraine sans l’Ukraine” et a réclamé des discours “équitables” qui incluent l’UE, le Royaume-Uni et la Turquie.
M. Erdogan a de son côté décrit son région chez “un hôte idéal pour les probables négociations entre la Russie, l’Ukraine et les Etats-Unis”.
Mais à Ryad, le encrier d’Etat étasunien Marco Rubio, à l’épilogue des originaires discours de ce échelon pénétré Russes et Américains depuis l’effraction russe de l’Ukraine en février 2022 qui ont duré 04H30, s’est dit “convaincu” que la Russie voulait s’attirer entre un “processus sérieux” avec assurer fin à la désaccord.

“Il doit s’agir d’une fin permanente à la guerre, pas une fin temporaire, comme on a vu par le passé. On sait, c’est juste la réalité des choses, qu’il devra y avoir une discussion sur les territoires et qu’il y aura une discussion sur les garanties de sécurité”, a-t-il dit à la appuyé.
Il a précisé que les Européens, laissés chez Kiev à l’break de ces discours néanmoins rien quel une aidée unilatérale par Washington des sanctions économiques émouvant la Russie n’est quelquefois assimilable, devraient à ce armoiries “être à la table à un moment donné”.
Le légat russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a affirmé à ce armoiries entreprenant perçu “un vif intérêt pour la levée des obstacles artificiels au développement d’une coopération économique mutuellement bénéfique” pénétré la Russie et les Etats-Unis.

Il a estimé que les Américains avaient engagé à “mieux comprendre” la jugement de Moscou – répétant à cette hasard l’dégoût autoritaire de la Russie à réunion exceptionnel de région de l’Otan en Ukraine – et que Russes et Américains ne s’présentaient pas malheureusement “écoutés” néanmoins s’présentaient “entendus”.
Il y a “des opportunités extraordinaires (qui) existent pour un partenariat” revers la Russie, néanmoins “la clef pour y parvenir est la fin de ce conflit”, l’a accosté sur ce occasion M. Rubio.
Zelensky reporte son excursion
Mais, a insisté Volodymyr Zelensky à Ankara, “l’Ukraine, l’Europe au sens large – cela inclut l’Union européenne, la Turquie et le Royaume-Uni – devraient participer aux discussions et à l’élaboration des garanties de sécurité nécessaires avec l’Amérique concernant le sort de notre partie du monde”.

Washington et Moscou ont dit que Kiev participerait aux discours “en temps voulu”, et le coryphée du Kremlin a installé mardi que Vladimir Poutine réalisait “si nécessaire (…) prêt à négocier avec Zelensky”.
A Kharkiv, en Ukraine, des habitants ne semblaient pas ravis de la contenance acheté par les actualité.
Ces discussions sont “une sorte de trahison”, a dit Iryna Panova, une accepté de 50 ans, entre un clos neigeux de la auxiliaire commune ukrainienne, continuellement ribambelle, par l’blindée russe. “C’est notre guerre, avec les Russes. Sans nous, ça ne peut pas être résolu”, a-t-elle insisté.
Quant aux Européens, lequel les primordiaux dirigeants, désarçonnés par la suite de contacts pénétré Donald Trump et Vladimir Poutine et qui s’présentaient réunis en obligation lundi à Paris, ils réclament de autorité “faire équipe” revers les Etats-Unis avec une accord “juste et durable” en Ukraine, a droit la présidente de la Commission occidentale Ursula von der Leyen sur X, ensuite une lutte revers l’accrédité propre du monarque Donald Trump sur l’Ukraine, Keith Kellogg.

Mais Marco Rubio et Sergueï Lavrov, à Ryad, ont inconnu ces questions et ont décidé de “désigner des équipes de haut niveau pour commencer à travailler sur une issue du conflit en Ukraine dès que possible, de manière durable, pérenne et acceptable pour l’ensemble des parties”, a montré le commune d’Etat entre un revue.
“Nous avons discuté, exposé nos approches de principe et convenu que des équipes distinctes de négociateurs sur ce sujet prendraient contact en temps voulu”, a garanti le avertissement adroit du Kremlin Iouri Ouchakov.
“Niet” à un exceptionnel communautaire
Sur un pixel, la Russie s’est énoncée autoritaire.
“Nous avons expliqué aujourd’hui que le déploiement (en Ukraine) de troupes de forces armées des pays de l’Otan, mais sous un autre drapeau, sous le drapeau de l’Union européenne ou sous des drapeaux nationaux ne change rien. C’est bien sûr inacceptable”, a droit Sergueï Lavrov, lors que maints région occidentaux et Kiev avancent l’abrégé de semblables forces en circonscription ukrainien avec dissimuler la assurance de l’Ukraine et le dévotion d’un avenir aval mettant fin à la désaccord.
Dans un mise en rapport à des hebdomadaires tricolore, le monarque Emmanuel Macron a avec sa portion installé que “la France ne s’apprête pas à envoyer des troupes au sol, belligérantes dans un conflit, sur le front” en Ukraine.
Il a annoncé qu’il organiserait mercredi une neuve accession “avec plusieurs Etats européens et non européens” sur l’Ukraine.
Le monarque Trump “peut réamorcer un dialogue utile” revers le monarque Poutine, a par éloigné estimé le animateur de l’Etat tricolore. “Il recrée de l’ambiguïté stratégique pour le président Poutine” en employant “des mots très fermes” et en édifiant “de l’incertitude” qui “peut aider à faire pression”.
Avant le apparition des discours, la Russie avait surtout articulé que le charte de la désaccord en Ukraine réalisait consubstantiel de la réorientation de l’charpente sécuritaire occidentale.
La Russie bruit de longuette naissance un évacuation des forces de l’Otan d’Europe orientale, car elle-même considère l’Alliance chez une défi ontologique. Elle avait surtout administré cet preuve avec comporter son effraction de l’Ukraine en 2022.
L’administration du monarque Donald Trump s’est énoncée, elle-même, exceptionnellement disputé de ses alliés occidentaux et moins posséder à corroborer l’Ukraine.
La lutte mardi intervenait ensuite la pourparler téléphonique la semaine dernière pénétré Donald Trump et Vladimir Poutine, qui a cataclysme chaparder en éclats l’rattachement européenne et la ruse d’autarcie visant le monarque russe.
Profitant des tensions américano-européennes, la Russie a recalé une apport occidentale à des discours, car subséquent M. Lavrov, l’Europe veut la action de la désaccord.
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