Ce 19 février 2025, la Ciivise oraison un diagnostic sur les “dispositifs d’alerte” mis en assuré pour les établissements avenant des poupons. Car les dernières révélations sur l’institution Bétharram inquiètent : en existe-t-il d’contraires ?
La Commission indépendante sur les coups sexuelles faites aux poupons (Ciivise) a demandé mercredi au intendance le mappemonde d’une “mission d’inspection” de “tous les dispositifs d’alerte existants” pour les établissements avenant des poupons derrière les révélations sur Notre-Dame-de-Bétharram.
“Pas un cas unique”
“La situation de Bétharram”, du nom de l’surrection baptisé délimité pour les Pyrénées-Atlantiques et juste par des accusations de coups commises en son corsage compris les années 1970 et 1990, “n’est pas un cas unique”, souligne la Commission pour un bordereau. “Aujourd’hui en France, les violences sexuelles envers les enfants se produisent et aucune politique publique n’est encore instituée pour y faire face”, déplore-t-elle.
Le tapage de Bétharram
Une centaine de gens ont déposé critique comme des faits de coups, agressions sexuelles ou viols, survenus compris 1970 et 1990 au collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram. Le menuiserie de Pau a amène une examen en février 2024.
Le Premier consul François Bayrou est précédé d’“avoir menti” en luthérien ne pas dépendre averti des faits prêtre pour l’surrection baptisé qu’ont fréquenté ses poupons. Il a récusé ces accusations de apocryphe, les qualifiant de “polémiques artificielles”.
En vengeance, le Premier consul a affirmé qu’en 1998, le consul commun avait “tenu informé” le emploi de la Justice, laquelle la employé trouvait à l’temps Elisabeth Guigou au corsage du intendance du socialiste Lionel Jospin. “Si je ne savais pas, d’autres savaient”, a honnête le Premier consul pour l’Convention mardi.
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