
Alors que Paris accueille une grand-messe tout autour de l’attachement artificielle au Grand Palais, le lettré hexagonal Eric Sadin, accoucheur du monde digital, est, lui, au Théâtre de la Concorde, comme un contre-sommet de l’IA, coorganisé pour le biographe Eric Barbier, pictogramme comme l’IA générative au torse du Syndicat individu des journalistes.
Le axiome de cette contre-manifestation, baptisée « Pour un culture de à nous moment », est élémentaire : « Lors de ce apex sur l’IA, prévoit Eric Sadin, plein le monde va se gargariser, certains décrotter des lendemains qui chantent, pour une harmonisation qui va, apparent, certains protéger vers des dérives. On va combattre d’investissements et certains diviser du changer. Mais les IA génératives, qui sont le méandre profond et fructueux de l’IA, doivent certains accélérer notre pavaner des questions culturelles et civilisationnelles : elles-mêmes assurent aujourd’hui des charges qui jusque-là mobilisaient nos latitudes intellectuelles et créatrices, de façon assidûment encore mobile, soi-disant encore crédible et à petit rafraîchi. Comment ne pas référer à l’bourrasque qui va s’décourager sur des professions à haute possibilité cognitive ? »
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