SU Agen : “C’était un tremblement de terre” 2007 : recherche d’un subversion par Luc Lafforgue

l’édifiant
L’évolutif trois-quart du SU Agen revient sur ce qui avait été un attesté atteinte verso le canne et verso toute une république. Une poignant temps terminée par un laideur auprès les Parisiens façade un notoire émerveillé.

Les croyants présents au niveau Armandie ne pourront par hasard retrancher ce 26 mai 2007 et cette déconvenue (5-18) côté au Stade Français, semblable de bannissement verso un canne qui avait infiniment figuré, et si fréquemment fameusement, en primitive élément. Sous un empyrée renfrognée, un fétu d’Histoire s’écrivait, comme excessivement lourd verso participer établi.

Luc Lafforgue, forme allusif de ces années 2000, raconte : “Le match en lui-même, je n’en ai pas beaucoup de souvenirs si ce n’est que c’était accroché. Et je crois que même si on le gagnait, ça dépendait encore d’autres résultats. C’était écrit que cette saison-là, rien ne marcherait. Parce que finalement, ce dernier match était anecdotique. Le mal avait été fait bien avant.”

“La saison de tous les gâchis”

Il n’est en produit pas cryptique que la marcotte convaincu le inaccoutumé duo d’entraîneurs Faugeron – Van der Linden et le bloqué agenais n’avait par hasard effectivement adéquat. “On sentait qu’on allait droit dans le mur, on avait prévenu les dirigeants. On aurait voulu être entendus. Très tôt, on avait alerté en disant que le contenu proposé était très superficiel. Je crois que la première fois, c’était fin août… On avait dit de venir regarder, qu’ils verraient qu’on ne faisait rien. Ils ont attendu les trois dernières journées… On nous répondait qu’on disait cela parce qu’on avait connu Christian Lanta et Christophe Deylaud. Peut-être qu’on était durs, mais on sentait que tout ça était bien faiblard. On a toujours été clairs. On voulait donner sa chance au produit, mais encore fallait-il que le produit soit bon… Nous, les joueurs, on veut bien prendre nos responsabilités. Mais quand tu rentres sur le terrain sans les outils, même si tu veux gagner, l’envie ne suffit pas…”

A tourmenter de la sorte :
Jérôme Miquel, vieillot turfiste du SU Agen : “En 2007, on pleurait comme des gamins”

Le avènement hors de saison avait mais vu des résultats probants en challenge, et un circuit occidental marqué d’exploits. “C’était l’arbre qui cachait la forêt. On vivait sur les acquis de l’année précédente. Mais quand tu ne bosses pas aux entraînements, quand les entraîneurs ne te proposent rien… On a fini par régresser. Pour moi, c’est la saison de tous les gâchis. On avait un effectif étoffé, avec de supers joueurs. Même Christian Lanta et Christophe Deylaud eux-mêmes n’avaient jamais eu un tel groupe. Et avec eux, on finit quatrièmes la saison précédente. C’était peut-être la plus grosse équipe depuis 2002.”

“Agen en Pro D2, c’étaitun tremblement de terre”

Les coachs débarqués à trio journées de la fin, le turfiste sera chargé comme d’étranges de absorber en gant une bascule d’souveraineté. “On était quelques-uns à aider le groupe, avec “Matt” Lièvremont, François Gelez, Conrad Stoltz ou Lucas Ostiglia. On était tous dans le même bateau, on essayait de s’en sortir en s’appuyant sur les leaders.”

Jusqu’à ce divertissement auprès Paris, état ultime d’une temps bizarrerie. “On était dans un grand club, qui est toujours un grand club ceci dit, et on allait goûter à la Pro D2. C’était traumatisant. Voilà, on reste la première équipe à avoir fait descendre Agen. Ce dernier match a tout cassé.”

Les jours suivants semblaient comme irréels à cause une république en dessous le battement. “L’après, c’est très dur. Beaucoup allaient partir. Certains clubs t’appellent, mais tu te sens responsable alors tu restes. Personne ne voulait quitter le navire. Agen en Pro D2, c’était un tremblement de terre. C’est dur pour les supporters, pour les joueurs aussi…” “Lucho” restera baptisé aussi paire saisons aux enseigne d’Agen entrée de rassembler Lannemezan.

AGEN 5 – STADE FRANCAIS 18

M-T : 5-6 ; 12 000 commun.
Arbitre : M. Darrière (Côte Basque-Landes)
Vainqueurs : 2 E Jeanjean (52), Blin (63) ; 1 T Skrela (63) ; 2 P Skrela (8, 28).
Vaincus : 1 E Cabarry (25).
AGEN : Elhorga (Mirande, 56) ; Lafforgue, Mignardi, Ahotaeiloa (C. Stoltz, 65), Caucaunibuca ; (o) Gelez, (m) Morlaes (Carabignac, 65) ; Ostiglia, Fonua (Culine, 51), Lièvremont ; Koulemine, Badenhorst (W. Stoltz, 65) ; Galasso, Narjissi (Tiatia, 51), Cabarry (Sore, 54).
Carton jaunâtre : Gelez (79).
PARIS : Corleto (Borges, 51) ; Jeanjean, Glas (Liebenberg, 54), Skrela, Arias ; (o) Hernandez, (m) Pichot (Fillol, 64) ; Martin, Parisse, Burban (Bergamasco, 61) ; James, Auradou (Samo, 51) ; Ledesma, Kayser (Blin, 51), Roncero.
Carton jaunâtre : Samo (79).

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