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Rémy Rioux, le gestionnaire commun de l’Agence française de rechute (AFD), aime sur France 24 la moment de l’bras au rechute pour le monde, qualifiant de “choc” la arrêt par le responsable Donald Trump de l’concession de l’bras internationale au rechute. “Le choc principal, c’est sur l’humanitaire. Plus de 40 % des financements viennent des États-Unis”, précise-t-il.
Coupe écho en France pareillement, où le gestion de François Bayrou battu l’bras autorisée au rechute de 37 %, amen 2,1 milliards d’euros. “Le monde de l’aide, de la pure solidarité touche des limites”, constate Rémy Rioux.
“La France avait augmenté de plus de 50 % son aide publique au développement depuis 2017. Là, c’est vrai qu’on contribue à l’effort d’ajustement des finances publiques”, rejet le gestionnaire commun de l’AFD.
Pourtant, au moins 305 millions de entités pour le monde vont entreprenant pénurie d’auditoire caritatif pour le monde en 2025, accompagnant l’ONU. Les totaux capitaux sont estimées à 47 milliards de dollars, lesquels les Relevés-Unis donnent pour ainsi dire la milieu.
De la “pure solidarité” à “l’investissement solidaire”
Comment référer à ces urgences en même temps que des recette financiers déclinants ? Constatant que le monde de “la pure solidarité est attaqué”, Rémy Rioux billet à “l’investissement solidaire et durable” : “Il faut réinventer le narratif, le récit, les instruments, y compris parce que nous avons à faire face au changement climatique, à l’augmentation des inégalités. Et on ne le fera pas qu’avec de l’argent public. Je crois qu’on peut en convenir : il faut mobiliser aussi l’argent privé”.
Aujourd’hui, 43 % de l’remue-ménage de l’AFD concerne sauvagement l’Afrique. Au Maroc, “on a prêté l’année dernière 350 millions d’euros à l’Office chérifien des phosphates”, se félicite Rémy Rioux.
Au école de l’été, Emmanuel Macron a indubitable la nationalisme marocaine sur le Sahara européen. Les contraventions en même temps que le ambiant algérien traversent, depuis, une rage glorieux.
“Le sujet diplomatique relève évidemment de notre ministère des Affaires étrangères et du président”, compté Remy Rioux. Il réputation toutefois que “les procédures de l’AFD sont tout à fait robustes, eu égard aux régimes fixés par les Nations unies” sur les territoires non autonomes. Ces standards “supposent évidemment de venir dans l’intérêt des populations du territoire dans lequel on investit”.
“Le sujet qui se pose à nous et sur lequel on a maintenant apporté une réponse, c’est pourquoi ne pas investir au sud marocain ? En fait, pourquoi ne pas investir au Sahara ?”, interroge Rémy Rioux.
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