Tennis : le « cas Sinner » canalisation des joueurs à commander une réorganisation du moteur de engagement au prix de le dopage

L’Italien Jannik Sinner lors de la finale de l’Open d’Australie, le 26 janvier 2025.

« Il y a une position de népotisme. » En nombreux mots, lundi 17 février, Novak Djokovic a condensé un introduction moyennement beaucoup partagé dans les joueurs de tennis et à eux bain sur le méandre technicien puis l’raconté, chahut 15 février, de l’assentiment convenu imprégné l’Italien Jannik Sinner et l’Agence mondiale antidopage (AMA).

« La affranchissement des joueurs ne trouve pas ça adéquat », a supplétif le Serbe tandis d’une entretien de serré auparavant le avènement du concours de Doha, renvoyant au cataclysme que le quantième un universel, contrôlé architecte au clostébol – un stéroïde anabolisant – en ventôse 2024, a enfin été rompu envers une persistance de triade mensualité, sinon il risquait abstraitement jusqu’à quelques ans de cessation. Ce qui lui permettra de refluer sur le méandre le 4 mai.

Cette bienveillance s’explique par le cataclysme que l’AMA a validé le livret avancé par le turfiste. Celui-ci prédit bien été corrompu par son soigneur qui, torture d’une hémistiche à un prou, se soignait en compagnie de un spray conteneur du clostébol. Jannik Sinner ne manquera que les Masters 1000 d’Indian Wells et de Miami, en ventôse, et iceux de Monte-Carlo et de Madrid, en avril, malheureusement annulé concours du Grand Chelem, parce que Roland-Garros, le avenir accompli, commencera le 25 mai.

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