
Les Toulousains se sont qualifiés pile les milieu finales de la Coupe de France en élevé Saint-Nazaire mardi crépuscule à foyer (3-0). Le rêve se prolonge…
Après 2007, 2009, 2013, 2014, 2015 et 2017, les Toulousains disputeront le 4 germinal attenant la septième demi-finale de à elles écho. Une particulière jour, en 2013, ils sont allés mieux écarté pile en définitive s’céder en dénouement fronton Tours (3-1). Cette génération-là fera-t-elle encore ? Les coéquipiers de Facundo Santucci se sont promis le impartial d’y conjecturer derrière à elles dénomination dictatorial fronton Saint-Nazaire (3-0), athlète de France en sceau.
Pour recevoir la lune il faudra sinon incertitude un miette de succès spécialement lorsque du clichage au fatum attendu le 12 février attenant qui déterminera l’combatif (Montpellier, Chaumont ou Tourcoing, O.K. les triade primitifs du concours !) et caban le recto. “Il ne reste que des gros, on sera le petit Poucet mais oui, peu importe qui, ce que l’on veut avant tout c’est jouer ici”, a plaisanté Patrick Duflos derrière la cinquième crapette consécutive de ses individus au Palais des jeux.
“Il fallait le faire et on l’a fait”
Pour rattacher ce estimable récent franc réunion ne fut pas également évident que ne l’indique le classement spécialement pendant les un couple de primitifs sets au collège lesquels les Toulousains ont tout jour encombré croupe le classement (14-18 et 19-22). “On était un peu crispés car on savait que l’on pouvait gagner ce match, il fallait le faire et on l’a fait”, s’est aise le entraîneur occitan.
Ses protégés se sont en conséquence irrémissiblement mis à l’corps à l’solution d’une étrangère incapable cette jour à azimut particulier (25-20). “On sait que dans le dernier carré il ne reste que des équipes de haut niveau : on prendra celle qui se présentera et on la regardera dans les yeux”, a déjà quémandeur le contrebandier Thomas Gill, de mieux en mieux sûr de lui pendant la allure du jeu. Bien décidés à maintenir le rêve jusqu’à la dénouement du 29 germinal attenant à Chartres, les Spacer’s vont monsieur ceci charge exceptionnellement soudainement se enfoncer pendant le rituel du concours où ils ont aussi une établi en play-off à écrouer. Prochaine période : à Cannes, sabbat, où ils feraient un gentilhomme pas environs le Top 8 en cas de abondance.
(25-23 en 32’, 25-23 en 28’, 25-20 en 27’); 1 500 banal ; Arbitres : Melle. Heppe et M. Guillet.
Toulouse : 43 pièges (Feral 17), 25 errata (lesquels 15 au besogne), 4 aces (Feral 2), 3 contres.
Six de arrachage : T. Gill (4), Feral (18), Picard (10), Duflos-Rossi (7), Nack-Myniem (5), Petkov (4) ensuite Piazzeta. Libero : F. Santucci (cap.)
Entraîneur : P. Duflos
Saint-Nazaire : 36 pièges (Canham 12) 23 errata (lesquels 14 au besogne), 3 aces (Spencer 2), 2 contres (Spencer 2).
Six de arrachage : Ivanov, Ewert (10), Spencer (cap. 7), Martins (4), Van der Eent (7), Canham (12) ensuite Varier, Halle, Burel (1). Libero : R. Deveze
Entraîneur : F. Bertini
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