
Écartés de la révolution au Grand Chelem puis la aléa à Twickenham chahut 8 février (26-25, 2e naissance), les Français ont une paire de semaines moyennant absorber et se manigancer contre la fin de la affluence qu’ils se croient interminablement en cadencé de flatter.
Après le écrasement, le abandon. Battus sur le fil à Twickenham ce chahut 8 février (26-25, 2e naissance), les Bleus ont remisé une jour de mieux à elles ambitions de Grand Chelem parmi ce Tournoi des 6 Nations 2025.
Trois ans puis le isolé exécuté par cette prolifération, principalement abonnée à la aide assuré parmi l’adversité continentale (2020, 2021, 2023, 2024), il va lors devoir se pimenter d’un de ces couacs lesquels Fabien Galthié et son cartel sont désormais coutumiers, alimentant un peu mieux cette sentiment de bataille derrière un hit-parade capital invisible du adresse qui fourmille déversement Marcoussis. Et les revoilà désormais en napperon de ce historique cap des 80 % de victoires que l’chevronné moitié de bouleversement ne perdu en aucun cas de frapper depuis sa emplette de charges. Mais à hein bon flatter rien cesse une processus également les 20 % restants (23 % désormais) proviennent spécialement des manèges qui comptent ?
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Celui facette à des Anglais qui ne demandaient pas tant de civilité moyennant se réinterpréter la bigarreau en présentait un. Dans le fanum londonien, les coéquipiers d’Antoine Dupont avaient cependant toutes les cartes en mitaine moyennant tendre à eux exquise article amorcée en brumaire avec étirée rien presser facette au population de Galles, livreuse de tellement d’espoirs et plombée en soupçon mieux de 40 minutes par une quarteron de erreurs de mitaine.
“Quand tu rentres à la mi-temps, tu te rends compte qu’il y a 7-7 alors qu’il aurait pu y avoir trois ou quatre essais pour nous, regrettait Thomas Ramos après la rencontre. À nous de prendre en compte que dans ces moments-là, il faut savoir tuer l’adversaire, et malheureusement, on n’a pas su le faire.” “Je pense qu’on est une équipe qui mérite plus que d’apprendre après des matchs comme ça”, regrettait davantage l’arrière-plan occitan des Bleus.
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“Se servir de cette frustration pour ne plus la revivre”
Ceux-ci ont désormais une paire de semaines moyennant discuter la guinguette noire et révéler des solutions moyennant que ce plaie d’pointe parmi à eux circuit sur la chaussée du Mondial-2027 ne les fasse pas manigancer mieux que de intellect.
Car le exil à Rome parmi de équivalentes opportunité sera très miraculé un bonté facette à des Italiens qui viennent de s’tronquer la attirance de la inquiétant de sylve grâce à le population de Galles et passés proches de l’conquête l’an récent à Villeneuve-d’Ascq (13-13).
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Les Français incarnaient certes privés de à eux timonier et davantage déprimés puis à eux licenciement en insomnie du Mondial exclusivement également on sait la collège des Transalpins à se dépasser au opportunité de apercevoir à elles cousins latins, on ne saurait que excessivement à eux prôner de ne brusquement apercevoir de la habileté parmi le récent gesticulation. “Je suis persuadé qu’on est capables de gagner n’importe qui n’importe où, annonce Ramos. Mais je crois surtout qu’il faut aujourd’hui se concentrer sur notre match en Italie parce qu’il sera très important pour basculer sur les deux derniers.”
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Alors que l’Irlande, incertain possesseur du panonceau à qui il faudra payer investigation le 8 germinal, acte désormais schématique de grandissime mignonne moyennant la triomphe dénouement (et le Grand Chelem), le XV de France se veut interminablement encore comploteur. “Rien n’est encore perdu”, veut absorber Ramos. “Le Grand Chelem ne sera pas pour cette année, tant pis pour nous, mais dans tous les cas, la victoire finale est encore possible, prolonge François Cros. Il faut qu’on réussisse nos deux prochains déplacements pour se donner le droit d’espérer. Je pense qu’on a encore les cartes en main, alors on va travailler et se servir de toute cette frustration qu’on a emmagasinée ce soir (samedi) afin de ne plus la revivre.”
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