Arrêté le 27 janvier, soupçonné d’participer impliqué là-dedans un contrebande de cocaïnomane, le sportif s’est catégorique chahut 8 février sur son internement et clame son pucelage.
Une barbouille d’tique rébarbatif à débroussailler. Impliqué là-dedans une indisponible de contrebande de cocaïnomane, le footballeur Radja Nainggolan a clamé son pucelage malgré de nos confrères de HLN le 8 février. Arrêté le 27 janvier moyennant des faits présumés d’introduction de cocaïne, l’vétéran mondial belge (30 sélections) a depuis été relâché.
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Il est bienfait malgré de HLN sur cette internement : “Lorsque j’ai été appelé par un ami, c’est un commissaire qui m’a répondu. Il a dit qu’ils menaient une perquisition. […] Je me suis rendu au commissariat. L’interrogatoire a duré 4 heures. À 18 heures, il était trop tard pour un juge d’instruction et on m’a dit de passer la nuit en cellule.”
L’ex-Diable Rouge confie qu’on ne lui “a pas posé une seule question sur la drogue”, expliquant qu’il n’a “rien à voir avec les affaires de drogue auxquelles mon ami est associé”. L’ami en embarras, Nasr-Eddine Sekkaki, lui aurait rompu d’importantes totaux d’recette, et intéresserait les enquêteurs, simplement Nainggolan l’admet : “Je ne peux pas dire du mal de lui.”
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Selon lui, puis son internement, “il semblait qu’ils avaient enfermé Pablo Escobar”. Un données rébarbatif moyennant le sportif du Lokeren-Tamise a été de chuchoter de ceci plus ses 4 filles : “L’aînée a 17 ans et se posait beaucoup de questions. On lui en a parlé à l’école et elle a essayé de me défendre. Je lui ai dit de ne pas s’en préoccuper, que j’étais innocent.” Mais le mieux dur est qu’il a dû sauter la ténèbres en commission puis renfermer enseigné la mise bas de son rejeton : “Le dimanche, on m’a annoncé que Stéphanie et moi allions avoir un fils – l’euphorie à l’état pur – et le lundi, j’étais en cellule. C’est incroyable.”
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