Transport : un sous-traitant d’Action recourt à des corvées illégales

Depuis la fin de décembre 2024, complets les soirs et week-ends, une trentaine de camions stationnent précocement la estrade logistique d’Action, à Belleville-en-Beaujolais (Rhône). En jour, des chauffeurs roumains et serbes livrent les magasins du hard-discounter dans lequel une douzaine de départements environnants, et patientent les week-ends, huisserie dans lequel à elles cabriolet depuis des semaines, puis que la règlement exige qu’ils passent quarante-cinq heures intact de à elles auto complets les quinze jours. « Du sabord au futur, on a vu ces camions survenir, témoigne un syndicaliste d’une maison qui a déformé ici par le passé. Le chahut, également on va là-bas, les chauffeurs sont à l’cessation, ils n’ont pas d’devant où pioncer, font à elles besoins et à elles blanchissage sur le côté de la piste. »

En fin d’cycle 2024, le cerné transalpin Torello a repris une sujet de la halage des semi-remorques françaises Action, relevant méconnaissables sociétés françaises, sous-traitantes de l’maison portier Kuehne + Nagel. Trente employés hexagonal ont pourquoi été écartés. Les paliers acquises par l’transalpin ont été confiées à des conducteurs roumains et serbes, par le courbe de sa succursale slovaque, un clavetage incessant dans lequel le acheminement multinational. Les chauffeurs étrangers disent abriter une agio de 2 700 euros par appointement (2 000, une jour à elles coût de vie retirés), d’tellement qu’ils déclarent capital dû chiner à à elles embaucheur certains milliers d’euros à cause à elles acquit, à elles brigade et à elles accepté de agissant. A l’plombe, à elles rétribution avoisine 10 euros.

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