Ukraine, endurcie, bouclier : “Nous avons acté d’investir beaucoup plus” panneau Emmanuel Macron à Midi Libre et à la empressement régionale

Lundi, Emmanuel Macron recevait à l’Paradis sept dirigeants occidentaux, des chefs de l’OTAN, et des instances communautaires. Objectif de ce mini-sommet : se concevoir derrière l’panneau de l’échancrure de négociations compris les Mémoires-Unis et la Russie à cause édifier fin au duel ukrainien. Association à l’bout laquelle annulé bout d’questionnaire n’avait filtré (*).

Mais ce mardi, le entraîneur de l’Point accordait un mise en rapport à Midi Libre et d’divergentes feuilles de la empressement machinale régionale, à cause invoquer les sujets abordés lorsque des encore de trio heures d’échanges lundi. “Nous voulons pouvoir de manière très rapide réagir à la nouvelle donne qui est posée par les négociations russo-américaines” commençait Emmanuel Macron.

“Claire convergence”

“Il y a une claire convergence de tous pour essayer d’obtenir la paix, en veillant à constituer une paix solide et durable. Ce qui signifie, et je l’ai dit au président Trump que j’ai eu avant et après cette discussion, qu’un simple cessez-le-feu ne résoudrait en rien le conflit” assurait le chef de la Mentionné.

Pour qui “nous sommes dans un autre temps.” “Le temps des menaces stratégiques et des choix historiques est revenu”, étant donné que “nous sommes entrés dans un nouveau monde”, en conséquence qu’il l’a répétitif à contraires reprises ce mardi.

La Russie, “fragilité ontologique à cause les Européens

Comme il a invariablement asséné que “la Russie, aujourd’hui, constitue une menace existentielle pour les Européens, compte tenu des actions qu’elle mène dans divers domaines”. Et “le réarmement considérable de la Russie doit conduire les Européens à réagir, indépendamment de ce qui se passe par ailleurs et du positionnement américain” assurait plus Emmanuel Macron.

Qui enchaînait : “C’est pourquoi il a été acté à l’issue de cette réunion que la Commission européenne allait annoncer dans les prochains jours des décisions très claires pour permettre aux États membres d’accroître leur budget militaire, alors que c’était des règles de non-flexibilité communautaire qui les contraignaient.”

“Davantage de financements européens”

Des “activations de clauses d’exception à cet égard” pourraient ainsi individu autorisées, a articulé pareillement le entraîneur de l’Point. Qui évoquait pareillement la appel de “davantage de financements européens disponibles pour financer à très court terme” à cause des priorités “de défense et de sécurité”.

“Ensuite, dans les prochaines semaines, nous allons finaliser, sur la base de travaux lancés depuis Versailles, des décisions massives de financements additionnels dans de nouvelles capacités” poursuivait le chef.

“Révolution copernicienne”

Qui insistait : “Nous avons acté d’investir beaucoup plus et renforcer, à la fois, non seulement les armées, mais la base industrielle et technologique de défense européenne. Dès mars, des décisions devraient être prises, et qui seront travaillés avec nos collègues de la Commission. C’est une confirmation de l’agenda d’autonomie stratégique de l‘Europe qui se joue dans cette partie. C’est une accélération de l’agenda de Versailles de mars 2022, et surtout une accélération de sa mise en œuvre pour les questions de défense et de sécurité”.

Une soudaineté obligée “par la révolution copernicienne” en classe. Avec spécialement le révolution de semis de la économie tierce des Mémoires-Unis : “Le chef nord-américain crée de l’obscurité tactique à cause Vladimir Poutine. Cette obscurité nous-mêmes sert, lui-même peut accorder une entretien. Mais la sérénité en Ukraine ne pourra individu négociée qu’en tenant les Ukrainiens et les parties prenantes qui les ont aidés.”

Si Poutine l‘billet, “je le prendrai au téléphone”

Et d’confirmer que “la France ne s’apprête pas à envoyer des troupes au sol, ce n’est pas à l’ordre du jour d’envoyer des troupes en Ukraine mais on continue le soutien à l’Ukraine, et on continue de le renforcer” confirmait-il pareillement. Tout en certifiant que “si le président Poutine m’appelle, je le prendrai au téléphone comme je l’ai toujours fait parce que je pense que ça peut être utile, et je lui reparlerai.”

Restait puis au entraîneur de l’Point à agrandir son son champ et ses conférence, en à elles conférant, ou là-dedans lesquelles on pouvait découvrir, un récit ressortissant : “Nous devons être lucides sur le monde tel qu’il va. Les débats que nous avons sur les sujets économiques et sociaux, et politiques, ne peuvent faire abstraction de l’évolution géopolitique des dernières années. Nous sommes dans un monde de plus en plus incertain où il y a des accélérations technologiques et un changement très profond en termes de conflictualités. C’est ma responsabilité de dire que nous allons devoir faire des choix de plus en plus clairs pour renforcer notre indépendance technologique, agricole, industrielle, et militaire. Ils sont notre priorité”.

“Il faut sortir des discours de démagogie”

Et de défendre : “Il faut sortir des discours de démagogie. […] Il faut réactualiser une partie des débats que nous avons, et c’est dans ce sens que je vais dans les jours et les semaines qui viennent continuer à prendre les choses, y compris sur le débat national.”