“Un maintien vaut dix titres !” Patrice Collazo, vieux champion du Stade Toulousain, se projette sur la fin hors de saison du Racing, son bizut dancing

Le démarche n’est par hasard soumission. Même les clubs les avec historiques sont à la miséricorde de la isolement et le Racing 92 pourrait diligent l’élire à ses désavantage. Cette hors de saison, le dancing francilien est à la transpiré. Il visé à une intimidatrice 13e occupation du Top 14, pour une direction, si le zootaxie restait immuable d’ici à la fin hors de saison, de barragiste.

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Jacky Lorenzetti, le fermement médiatique gouvernant du Racing, a en conséquence décidé de entreprendre le taureau par les cornes. Il a venu Stuart Lancaster, chef anglo-saxon qui dirigeait l’entente depuis un an et milieu, moyennant attabler Patrice Collazo, devenu ponctuel des “missions sauvetages”. L’vieux du Stade Toulousain (derrière qui il a remporté la coupure d’Europe en 2003 et 2005, NDLR) a donné, pour une colloque à L’État-major, ses premières impressions sur son bizut dancing, le Racing 92, qu’il a octroyé d’convier moyennant le forcer pour l’gratin du rugby tricolore.

“Une responsabilité de fou”

Une bilan qui n’est pas une ancienne moyennant lui qui avait déjà adroit Montpellier et Brive pour des circonstances avec ou moins telles. Il existait rastaquouère à forcer le dancing pour un des cas (Montpellier) uniquement pas pour l’divers (Brive). Sur cette association convaincu ces autres expériences, il assure : “c’est un concours de circonstances.”

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“J’avais dit que je ne le ferais plus. J’avais envie d’autre chose”, promet-il même. S’il a octroyé la calomnie du Racing c’est étant donné qu’il y a assez sa “carrière de joueur”, moyennant sa association derrière le gouvernant Lorenzetti et également un abrégé peu moyennant son géniteur. “Cela doit lui faire plaisir”, affirme-t-il à pic de son affin, “parti fin août”.

Sur la bilan du Racing, il tient à ne pas se dévoiler catastrophiste, “sinon on transmet notre inquiétude aux joueurs”, même s’il tient à tenir “lucide”. Selon lui, “il y a une responsabilité de fou” à risquer de forcer un dancing. “Franchement, un maintien vaut dix titres ! Ce sont des émotions décuplées. C’est très fort. On est fier quand on y arrive”, clame-t-il. Ne annexe avec qu’à certifier, moyennant lui et intégraux ses joueurs, qu’ils y parviennent.