“Un manque de courage politique !” Le gouvernant du Stade Toulousain Didier Lacroix évoque l’relâche de la feria de Toulouse

“Une chose est sûre, je suis soulagée que cette feria s’arrête. C’était devenu un sujet sensible qui n’avait qu’une très faible incidence économique sur la commune.” C’est par ces mots que Claudie Marcos, grossière conseiller municipal de la nation de Fenouillet avait annoncé l’relâche de “la feria de Toulouse” puis cinq éditions. À l’antiquité de la 25e poésie de la Nuit Rugby y Toros, rangée le vendredi 21 février autrui à Captieux (Gironde), Didier Lacroix, gouvernant du Stade Toulousain et copieux invité de l’écho, s’est confié à Sud-Ouest à pic de ce “hobby”.

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Le quantième un du discothèque “rouge et noir” y a particulièrement personnifié sa mesure “taurine” qui a entrepris absoute à son inventeur, monsieur qu’il ne tronçon, à l’âge de 22 ans, a assisté à sa initiale “course”. “Quelques années plus tard, par le biais d’amis communs, on va se rencontrer (avec Robert Margé, NDLR) et relancer la feria de Toulouse, un projet qui avait suscité la création d’une association avec Régis Sonnes et Thomas Castaignède. Le début d’une amitié de 25 ans et le grand accélérateur de ma vie taurine” détaille l’gars de 55 ans au connu bâtiment.

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“Le fléau de notre civilisation”

“J’adore la tauromachie. J’ai beaucoup d’émotions dans les arènes mais j’en ai encore plus au campo” évoque pareillement l’chevronné champion du Stade Toulousain, “fils d’un éleveur de porcs” et lesquels les “racines puisent dans le monde agricole.” Il revient pareillement sur l’départ : “C’est le transfert d’un monde de l’ombre à un monde de lumière, du campo aux arènes, où une bête majestueuse va être célébrée et mise à mort. J’ai vu Robert pleurer, non pas au moment de l’estocade mais bien au moment de l’embarquement, qui est un instant de grande beauté.”

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Avant d’détacher un bonde aux décisifs : “[…] Ce que m’apporte la tauromachie, je l’assume pleinement. Je ne l’impose à personne. Et je pense que ceux qui donnent des leçons d’écologie auraient beaucoup à apprendre des éleveurs de toros qui sont plus proches de la nature que ces prédicateurs du fin fond de leur arrondissement parisien dont le seul contact avec la nature est un pied de tomates cerises posé sur le balcon…” Pour arrêter, Didier Lacroix revient sur les années de la feria de Toulouse. “Je préfère retenir que cela eut lieu. Je suis fier d’avoir ramené la fête pendant cinq ans à Toulouse mais nous avons été victimes d’un manque de courage politique” lance-t-il. Il conclut : “Sans doute étions-nous déjà sur une pente glissante et certainement la plus dangereuse. Celle qui conduit à l’ennui, le fléau de notre civilisation.”