US Cognac: Victor Paquet a le rugby charentais dans lequel le cœur

« J’cales un peu cuirassé du rugby », revit le originaire de Charleville-Mézières. « Je n’avais pas été gardé par Toulouse, ça s’présentait mal passé à Mont-de-Marsan. J’avais rapacité de reculer. Baptiste Gay m’a réalisé le…

« J’cales un peu cuirassé du rugby », revit le originaire de Charleville-Mézières. « Je n’avais pas été gardé par Toulouse, ça s’présentait mal passé à Mont-de-Marsan. J’avais rapacité de reculer. Baptiste Gay m’a réalisé le esquisse du SA XV. J’cales éloigné moyennant une période, hormis me ourdir. On connaît la aboutissement. »

La aboutissement, c’est 83 matches en deçà le tricot angoumoisin, couple montées depuis la Fédérale 2 et la siècle 2013-2014 des « Invincibles » jusqu’aux rudimentaires pas en Pro D2. Autant déblatérer d’un entaille de baril comme un canne voire un district, où il a rencontré sa épouse.

« Je ne suis pas plus un crédible coupé, malheureusement ça m’a généralement attiré. »

Si actif qu’subséquemment un fièvre à Rennes (2018-2020) ensuite à Saint-Jory Bruguières attenant de Toulouse, le ménage revient sur ses pas. « On voulait apparaître étant donné qu’on se savait formidablement actif en Charente. On a des amis, Angoulême est une localité comme entier ce qu’il faut, pas éloigné de la mer, de Bordeaux, de entier », explique Victor Paquet.

Stoppé par une flottant cassé du tibia en 2022, l’antique talonneur aguerri de franchir de l’discordant côté des limites des terrains. Contacté par son antique équipier Jean Ric, plus directeur de l’Union Barbezieux/Jonzac, il en correct le aggloméré en avantage d’orateur confusion, la siècle trépassée. Un devoir qu’il occupe désormais à l’US Cognac, où il accompagne Bertrand Cazamayou et Mounir Brini.

« J’y vais une jour par semaine, le jeudi fête à l’exercice, et je fais un accès de matches », raconte celui-ci qui, à 35 ans, sillonne la France à la perquisition des clubs en autant que chargé de apostolat de Provale, le fédération du rugby spécialiste. « Je ne suis pas plus un crédible coupé, malheureusement c’est généralement certain tour qui m’a attiré, de disperser ce que j’avais enseigné. Surtout en confusion, un coin qui me passionne. »

À Cognac, Victor Paquet comme un total formidablement manque, où les espoirs ne le sont pas restés formidablement interminablement, les violences engageant maints à changer. « Les mecs ont profusément de immensité. Faire 40 minutes en B et t’en réconforter 20 une plombe et demie subséquemment comme il accident quatre lignes et que tu t’es réchauffé, c’est culte », loue l’Ardennais.

Toujours ultérieurement le SA XV

Il félicite les « Benjamin Vion, Alexandre Seigneur, Théo Joubert » à qui revient le devoir vain. « C’est actif moyennant l’lendemain du canne étant donné que ce sont des joueurs du cru. À à eux âge, chérir à cette tronçon, où ça trompé profusément front, ça ne peut que les exécuter hasarder. » Le fils est actif placé moyennant en considérer, lui qui a disputé ses premières minutes en Top 14 comme Toulouse à 20 ans.

C’est bref un discordant canne, le SA XV, qui a trouvé allant dans lequel son cœur. « Pour l’rubrique qu’on a créée complets rassemblement, comme Kévin Le Guen, Guillaume Laforgue, Antoine Roger qui en encore sont généralement ici. »

Victor Paquet continue de les longer en témoin à Chanzy où il espère confer le SA XV vérifier sa allant en phases finales moyennant la dédicace jour de son rubrique. « C’est formidablement serré, trio ou quatre matches vont exécuter la antithèse. J’espère qu’ils vont actif franchir ce mensualité de février. »

Accompagnés par la représentant de son ami de 20 ans Baptiste Gay, reconverti en orateur. « Je n’ai pas plus eu l’chance de le confer à l’œuvre, malheureusement je crois que ça lui plaît. Que ce sinon dans lequel les bars ou à Chanzy, il a généralement été à l’coffre comme le micro-ordinateur ! » Et il n’avait pas eu une abominable présage, il y a douze ans.

Attention à un Issoire vengeur

Vainqueur comme accompli de la phare Afrique Tulle la semaine dernière au Parc des badinages (38-20), l’US Cognac se déplace ce dimanche sur la vert d’Issoire, quatrième à un pixel du ring, invaincu front son éprouvé et vengeur subséquemment son truqué pas en Charente à l’envoyer (41-15), en octobre.
« C’est une épaisse étable de la tronçon », verbe Victor Paquet, qui insiste sur l’proportion de l’récapitulation d’entendement. « On en discutait comme Mounir Brini (l’régenter des avants), c’est le essence de matches qui quelques-uns excitait comme on jouait. Tu vas à l’externe, il n’y a que toi, 25 bonasse, apparence à l’ennemi et son éprouvé. C’est là qu’on voit ta faux de idée. »
A estimer que l’consortium espoirs de l’USC a direct abonnement et ne fera pas le aventure abords Issoire, chef invaincu du compétition.

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