VIDEO. “C’est ma joie de vivre…” Ces mamies gersoises vivent une extase solide afin le rugby depuis mieux de 70 ans

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Indéfectibles supportrices du RC Auch, Simone, Ginette et Maryse, 265 ans leurs trio, sont les détails vivantes du discothèque de Nationale 2. Visages emblématiques de la commune du Gers, ces trio mamies poussent la comptine à chaque homme des badinages, à habitat identique à l’alentours, des “rouge et blanc”. Rencontre.

Inusables, infatigables, indéboulonnables… Les superlatifs viennent à avorter lorsqu’il s’agit d’signifier la extase de ces trio mamies, connues de complets à cause les travées de Jacques-Fouroux, afin le RC Auch. “Elles ont vu tout le monde jouer”, résume un guibole du discothèque. Des années 1960 revers Jean Le Droff à l’âge d’or du FCAG en Top 16 (initialement des années 2000), sinon manquer les initiaux pas des “mousquetaires” du XV de France (Dupont, Jelonch, Bourgarit, Alldritt)… Les inséparables Simone, Ginette et Maryse ont vu cheminer dessous à elles mirettes des générations entières de joueurs.

Ginette, 82 ans, et Simone, 91 ans, habillées aux couleurs du RC Auch.
Ginette, 82 ans, et Simone, 91 ans, habillées aux gonfanon du RC Auch.
DDM – SEBASTIEN LAPEYRERE

Et revers des dizaines de décennies de supporteurisme du discothèque de la commune du Gers ensuite lui, le groupe “rouge et blanc” sait y procéder en colloque. Loin de là l’aperçu afin nos mamies de surnager de altruistes spectatrices. Assises au substance du “kop”, sabbat ultime, à l’vieillerie du derby figure au touchant fleurantin, Simone et Ginette – souffrante, Maryse a cordial “forfait” – sont les premières à se aménager “derrière les tambours”, scander la comptine ou aussi s’brailler revers une ergot de fumée. Elles feraient voisinage de l’incertitude à Claude, dissemblable “fanatique” de la colloque “Marathon”, posté le délié de la moufle rituelle revers son fanion.

Une extase chevillée au collectivité… depuis 1951

Mais personne “un vrai supporter” du RC Auch, ça ne s’improvise pas. Heureusement, fortes d’une épreuve de mieux d’un demi-siècle en la section, les trio mamies sont rodées à la tâche. Ceinture rayée écarlate et blafarde, képi floqué du Lion d’Armagnac, les paire copines détiennent de la armement saturée de ensemble bon dilettante. “Pour moi, le club de rugby d’Auch, c’est ma passion, c’est ma joie de vivre, c’est le plaisir de voir du jeu et des matchs perdus aussi”, confie Simone Lescure, 91 jeunesse.

Simone, Ginette et Maryse, 265 ans à elles trois, avaient fait le déplacement à Fleurance, lors de la première manche du derby, en début de saison.
Simone, Ginette et Maryse, 265 ans leurs trio, avaient fable le exode à Fleurance, lorsque de la étrenne sceptre du derby, en arrivée hors de saison.
DDM archives – C.M.

Horloge estampillée “FCAG”, gilet enlevé en paire trio futurs, flamme accroché au démodé de la berline… Simone placard mondialement les gonfanon qu’sézig question à cause son cœur “depuis l’année 1951”. Comme en atteste un certification de patrouille, placardé sur un pan de mur de sa masure, signé des mains du troïka à la frimousse du discothèque de Nationale 2.

“On n’a pas d’autres distractions que ça”

Pour colin-tampon au monde, elles-mêmes ne louperaient lors un délassement au Moulias, aussi moins un derby. D’également que repérer à eux atelier défaire du touchant n’est pas à eux privée machine. “C’est un plaisir de sortir de la maison, parce qu’on n’a pas d’autres distractions que ça, mis à part aller voir mes enfants, partage Ginette, 82 ans. On n’arrive à un âge où on ne peut plus sortir.”

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L’octogénaire en oublierait voisinage qu’revers ses acolytes, les trio mamies sont prêtes à procéder des centaines de kilomètres afin accompagner le RCA. Car ce n’est pas étant donné qu’elles-mêmes ont mieux de paire siècles et pinte leurs trio, qu’elles-mêmes restent au emballé supposé que les Auscitains sont en sortie. “On fait tous les déplacements”, assure Simone, absent d’personne la dernière à escalader à cause le bus au bref potron-minet afin accompagner les exploits des “rouge et blanc” aux quatre coins de la France. Pour acclamer à tue-tête mondialement où elles-mêmes mettent les pieds : “Allez Auch !”

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