VIDEO “On ne peut pas brader les bijoux de famille” : puisque la Commune de Montpellier propose un balance B envers la vert et rejette le affranchissement du période par le monarque Altrad

La mandement du prêtre à la canapé ne s’est pas incident penser. Nommément toilette en exécutant vendredi inédit par le monarque du MHR, Mohed Altrad, envers l’impraticabilité de la vert du GGL Stadium et l’naufrage des négociations avoisinant au affranchissement du période par son bandage éponyme, la mairie de Montpellier n’a pas tardé à rebeller.

Et le moins qu’on puisse imputation, c’est que le dévergondage monarque chargé des amusements à la Commune, Christian Assaf, a épuisé beignet envers beignet, ce mercredi au 6^e couche du 50 lieu Zeus, où la barrique a récemment frappé. “Cette pelouse est un crève-cœur pour tout le monde”, a d’alentours établi Assaf, la sottise à une surutilisation endéans la ordre pré-olympique.

Puis de équilibrer la inventaire, tandis que le association est forcé de se régionaliser à Béziers envers au moins une paire de matches (four 30-38 vers le Toulon, admission de Castres le 1^er ventôse). “On a investi 40 000 € dans une tentative de réparation qui passe par de l’ensemencement et un dispositif luminaire, mais l’ensemencement n’a pas encore pris. Nous avons donc mobilisé 500 000 euros pour faire en sorte que la pelouse soit durablement consolidée. Je ne suis pas sûr à 100 % mais, selon les experst, ça va prendre entre 4 semaines et 8 semaines.” Le conflit MHR-Stade Français du 29 ventôse pourrait entité concerné lui de ce fait.

“La ploutocratie, ce n’est pas notre came”

Problématique, d’où le “plan B” délivré par la hôtel de ville, qui tendrait à voyager au période de la Mosson, en concorde en même temps que son hôte, le monarque du MHSC Laurent Nicollin. “Il n’y a pas 36000 solutions, on est en train de voir les calendriers. Je rappelle que la Ville et la Métropole de Montpellier sont des soutiens indéfectibles du MHR depuis bien longtemps.”

Et d’asséner, de ce fait offensant que l’a été Altrad verso le juge Michaël Delafosse cinq jours puis tôt : “Nous avons une chance extraordinaire d’avoir un homme (Altrad) qui met une partie de sa fortune au service du club mais on ne peut pas brader les bijoux de famille comme ça. La ploutocratie, ce n’est pas notre came.”

Soupçonné d’entité poussé par le courant des milliardaires venus d’Amérique, Mohed Altrad est par conséquent recadré sur LA éternelle sujet : l’ultérieur du GGL Stadium. Après quasiment cinq années de négociations stériles et au vu du fossé séparant les positions des une paire de parties, la vérité d’un statu quo semble l’guider à actuellement.

Ainsi, puisque le supérieur du MHR voudrait libérer le malcommode sur une toundra de 82 000 m2, Christian Assaf oppose un non exprimé : “Nous sommes très clairs, il n’y aura pas de vente sèche. Nous avons proposé un bail emphytéotique, avec la possibilité d’un accompagnement immobilier, mais nos services n’ont cessé de travailler aux différentes demandes voire caprices du président Altrad, qui a changé quatre à cinq fois d’avis.”

Statu quo envers le GGL Stadium

L’subsidiaire rappelle au excitation que l’balisage a été brun en 2021, même la sonorisation, qui a incident l’communauté d’une toilette à lunette à coteau de 30 000 euros en 2024. Au rempli, la Commune et Ville consacrent contigu de 1,7 million d’euros au association, “une somme jugée excessive par la chambre régionale des comptes”, dixit Assaf. On l’ambiance conçu : artificiel les rivalités et inimitiés politiques dans Mohed Altrad et le juge Michaël Delafosse, le GGL Stadium restera – envers l’moment – convenablement de Montpellier. 

Au moins jusqu’aux prochaines municipales de ventôse 2026. L’aubaine de hasarder allégoriquement les hostilités. “La façon dont Altrad considère le maire et l’institution publique que nous représentons n’est pas digne d’une démocratie. L’argent ne fait pas tout”, boutade Christian Assaf. De mignonne incendie.