Toujours aux prises envers l’agité des coups sexuelles à Notre-Dame-de-Bétharram, François Bayrou a été tourmenté à l’Assemblée nationale sur son marches de accointances et d’aboutissement chez ce registre. Il a scolarisé changées de ses descendants chez ce collège-lycée chrétien des Pyrénées-Atlantiques, familier de Pau.
Plusieurs députés, singulièrement l’élu de La France mutine Paul Vannier, l’accusent d’bien menti fronton la image nationale.

Dans un allégation prêché dimanche chez le publication périodique “Sept à Huit”, sur TF1, le brigadier chargé de l’reportage sur le créateur Carricart, ex-directeur de l’internat suspect de irrévérence en 1998, a symbolisé une “intervention” de François Bayrou contre de la légalité à l’temps, après qu’il vivait messager et responsable du Conseil global.
“De quelle nature et de quelle forme, je n’en sais rien”, reconnaît simplement mardi ce brigadier, Alain Hontangs, chez le mémoires La Ville des Pyrénées.
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Le estime qui reportage sur le irrévérence en 1998 a donc relaté chez changées médias que François Bayrou avait “fait la démarche de venir” le repérer supposé que le desservant vivait en séquestration.
Ce estime d’dépose, Christian Mirande, “c’est mon voisin depuis 50 ans”, a répondu le Premier ambassadeur, qui est constamment bailli de Pau, lorsque d’une tourment mardi de la députée socialiste des Pyrénées-Atlantiques Colette Capdevielle.
“Est-ce que nous avons pu parler avec le juge Christian Mirande de cette affaire ? Sans doute oui”, pourtant “on a pu parler de l’ambiance, on a pu parler de l’établissement, jamais du dossier”, a supplémentaire François Bayrou.
Quant au délateur global, “je ne le connais pas” et “il n’a eu aucune communication” envers “qui que ce soit sur ce dossier”, a-t-il donc consacré.
“Si je ne savais pas, d’autres savaient”
Le cacique du gestion a après remis la cartouche chez le baraquement du gestion du socialiste Lionel Jospin, qui avait succédé à icelui lesquels il fut ambassadeur de l’Dégrossissage.
“Si je ne savais pas, d’autres savaient. Parce que j’affirme devant vous, et vous le vérifierez, que le procureur général, lui, a tenu informée la Chancellerie sur ces affaires à quatre reprises dans l’année 1998. Il l’a fait téléphoniquement le jour de l’incarcération et il l’a fait ensuite à trois reprises par écrit, en signalant la gravité des faits”, a dit le Premier ambassadeur.
Il a appelé alors, en la citant nominativement, que la ambassadeur de la Justice vivait après Elisabeth Guigou.
“Je pose la question à mon tour: qu’est-ce qui a été fait après les signalements du procureur général pour que soient entreprises les démarches que vous recommandez?”, a-t-il demandé fronton les députés.
Ségolène Royal s’est aussitôt dite “scandalisée par les attaques du Premier ministre”, en publiant sur le filière X ses instructions d’août 1997 sur les “violences sexuelles” chez les établissements scolaires. “J’envisage une action en dénonciation calomnieuse”, a-t-elle documenté.
“François Bayrou nous a servi la quatrième version des faits” en une semaine, a déploré Paul Vannier sur BFMTV. “C’est un menteur multirécidiviste”, “chacune de ses nouvelles déclarations dévoile le mensonge des précédentes”, a-t-il vendu, appelant à récent à la renonciation du cacique du gestion.
Avec AFP
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