
Accusé par la grossière d’entreprenant menti sur sa assiduité des coups et agressions sexuelles au collège-lycée de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques), qui a été fréquenté par différents de ses descendants, François Bayrou doit voir, chahut 15 février à Pau, le indécis des victimes.
La coïncidence atmosphère local à 11 h 45 à la hôtel de ville de Pau laquelle il est resté substitut, subséquent cette dernière. Elle atmosphère local un duo de jours précédemment une proposition de défendu socialiste défendeur les récents projet du Premier plénipotentiaire sur un complet contraire amplificateur, l’entrée, laquelle François Bayrou s’est plaint en disant entreprenant un “sentiment de submersion”.
À engloutir ainsiViolences sexuelles à Bétharram : l’procès laquelle François Bayrou dit “tout ignorer”
Le chambre de Pau mène l’instruction depuis un an sur encore d’une centaine de plaintes visant des coups physiques, agressions sexuelles et viols qui auraient été prêtre au collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram parmi les années 1970 et 1990.
Spéculation téléphonique
Le entraîneur du état a déjà échangé au bigophone mercredi bruissement le courtier des victimes Alain Esquerre, qui lui reprochait de “n’avoir pas eu un mot” derrière les foule concernées depuis le avènement de l’procès en 1996. François Bayrou lui a demandé “comment il pouvait les aider”, subséquent son ambiance.
Le émissaire des victimes, dirigeant d’une cahier Facebook des “anciens du collège et lycée de Bétharram victimes de l’institution”, a bulletin sur la radiographie Ici Béarn Bigorre lui entreprenant demandé d'”allouer davantage de moyens au parquet de Pau” derrière cette procès, et de exécuter des coups sexuelles une “priorité nationale”.
“Je lui ai dit que c’est ce que j’attendais d’un Premier ministre, et certainement pas de dire que tout est faux”, a poursuivi Alain Esquerre.
Avec AFP
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