“Depuis le milieu des années 1990, vous saviez. Et alors que vos fonctions successives vous permettaient de protéger ces enfants, pendant vingt ans vous avez choisi l’omerta”, proférait mardi 11 février depuis l’membre balourd de l’Assemblée nationale, le messager révolté du Val d’Oise, Paul Vannier, à l’souplesse du Premier accrédité François Bayrou.
Quelques jours vite, Médiapart révélait, revues et témoignages à l’arc-boutant, “les mensonges de Bayrou pour protéger une institution catholique” parmi une baroud de viols sur mineurs.
Notre-Dame de Bétharram, collège béarnais parmi léproserie l’moderne Premier accrédité avait sézigue scolarisé autres de ses poupons parmi les années 1990 – et où sa fille Elisabeth dispensait des promenade de prêche – est contrôlé par 112 signalements et 72 plaintes contre viols et brutalités sur mineurs mandataire dans les années 1970 et 2010. Des accusations lesquels, continuateur le revue autonome, François Bayrou avait accointances. Ce qu’il nie durement.
“J’affirme que je n’ai jamais été informé de quoi que ce soit de violences, ou de violences a fortiori sexuelles. Jamais”, a-t-il attaché mardi en bref aux accusations du messager LFI, calviniste singulièrement qu’il avait déjà quitté le fonction de l’Initiation nationale sinon, “en 1998”, la ouverture critique en échange de l’surrection avait été déposée.
Ajoutant qu’il n’aurait incontestablement pas scolarisé ses propres poupons parmi un surrection “dont il aurait été soupçonné ou affirmé qu’il se passe des choses de cet ordre”, François Bayrou a terminé sa bref en annonçant une critique en pamphlet.
Mais dès le fête même, le média d’examen surenchérit alors une roman étude : “Viols à Bétharram : Bayrou a menti, Mediapart préavis de authentiques revues“, affiche-t-il.

Une cultivé de persécution reçue, des dossiers connus
“Le premier ministre n’a pas reçu une mais au moins trois alertes”, révèle avec Médiapart, publiant contre témoignage le assurance d’une persécution, Jean-Marie Delbos, aujourd’hui âgé de 78 ans. Aux côtés de son écho, le revue accompagné l’avisé de introduction d’une cultivé ambassadrice par celui en signalé à François Bayrou en germinal 2024, parmi à laquelle il raconte les viols qu’il a subi de la morceau d’un dévot à Notre-Dame de Bétharram, dans 1957 et 1961.
François Bayrou vivait avec échevin de Pau et affichait une prolixe bordure négociation parmi le Béarn, contenant garni dans discordantes responsabilités celles de messager, ou surtout de administrateur du briefing collectif. Jean-Maris Delbos n’a depuis par hasard libération la subalterne bref.
En octobre 2023, un vulgaire d’vieux élèves de l’pension, aujourd’hui adultes, s’est carré relayant de fourmillant témoignages persiflant des prêtres, des surveillants et nous résidents de brutalités physiques, agressions sexuelles et pédocriminelles. Les faits les encore vieux remonteraient aux années 1950, les encore récents aux années 2010.
Bien précocement ceci, en mai 1996, François Bayrou avait par éloigné exécuté une habité évidente à Bétharram subséquemment la critique du géniteur d’un élève de 14 ans – scolarisé parmi la même élégance que le gosse de François Bayrou –, qui avait été frappé si hargneusement qu’il en a errant une paragraphe de l’ouïe. L’homme négociation avait avec attaché l’pension de son épaulement, continuateur des causerie recueillis à l’règne par le revue bâtiment Sud Ouest, et lesquels l’annales a, lui-même encore, été déterrée par Médiapart.
Celui qui cumulait avec les charges de accrédité de l’Initiation nationale et de administrateur du briefing collectif des Pyrénées-Atlantiques y déclarait : “Nombreux sont les Béarnais qui ont ressenti ces attaques [contre Bétharram] avec un sentiment douloureux et un sentiment d’injustice”. L’affaire avait déjà anecdote l’chair d’une édredon médiatique, y assimilé à l’filière nationale.
Une originelle professeure de l’surrection aurait elle, à la même règne, représenté les brutalités physiques subies par nous élèves aux mari Bayrou. Dans un raccommodage donné au Point en juillet récent, celle-là témoigne : “Il a minimisé en disant que j’exagérais sans doute un peu”.
Deux ans encore tard, en 1998, le géniteur Carricart, un maître de Notre-Dame de Bétharram, vivait mis en audition contre sévices. Une baroud procédurier lesquels François Bayrou avait là surtout eu accointances parce qu’il a, continuateur Mediapart, rencontré à l’règne le maître d’formation conçu de l’baroud contre inventer le liquette. Une heurt que le accompli négociation avait parmi un préliminaire règne niée, alors obtenue.
Parmi les discordantes éléments de excuse brandis par François Bayrou, lui-même avalisé qu’il avait déjà quitté le fonction de l’Initiation nationale lorsqu’a été déposée la ouverture critique. Médiapart rappelle quoique que tandis de la ouverture anathème d’un veilleur collectif contre des faits de agression, en juin 1996, “le Béarnais était bien au gouvernement”. Il a en résultat garni cette place de germinal 1993 à juin 1997.
La balourd requête des notes, LFI graille désistement
Mercredi, au avenir des nouvelles révélations de Médiapart, le LFI Paul Vannier est bienfait à la plein.
“Le mensonge d’un ministre devant la représentation nationale, a fortiori du premier d’entre eux, est d’une immense gravité. Que votre mensonge porte sur une affaire pédocriminelle ajoute à l’inacceptable. Allez-vous en assumer toutes les conséquences et présenter votre démission ?”
Plusieurs de ses collègues révolté lui emboîtent le pas manifestement. “Je considère qu’un homme politique, qui a couvert des faits d’une telle gravité et qui, en plus, s’enfonce dans ce mensonge, ne peut pas décemment rester Premier ministre”, déclarait jeudi molosse sur RTL Manuel Bompard, qui s’est par éloigné offusqué sur X de “l’absence de réaction de la macronie, de la droite et de l’extrême-droite” sur l’baroud.
La quart, Colette Capdevielle, Peio Dufau et Iñaki Echaniz, entiers triade députés socialistes des Pyrénées-Atlantiques, ont adressé une cultivé sincère au Premier accrédité, l’appelant à “dire la vérité, quelle que soit cette vérité”.
Dans un ordre publié sur son panorama répandu, le Parti socialiste requête par éloigné “que toute la lumière soit faite sur ces crimes et sur la connaissance qu’avait François Bayrou de ce dossier”.
Appel à une acte d’étude ambassadeur
Jeudi, Paul Vannier a annoncé sur X capital demandé la filiation d’une acte d’étude ambassadeur “pour faire toute la lumière sur les défaillances du contrôle des établissements privés sous contrat par l’État”.
Au-delà de la ceinture négociation, les réactions pleuvent encore sur les réseaux sociaux. “Bayrou reconnaît donc que Notre-Dame de Bétharram est un véritable supplice pour ses élèves”, réagit sur X une internaute. En bref, une discordant utilisatrice, professeure de sciences économiques et sociales, raconte hein son grand-papa, qui y a été représentant à 8 ans, a été “brisé” par l’pension.
“Les conséquences d’une enfance maltraitée sont lourdes, et pèsent même sur les générations suivantes”, poursuit-elle. “La désinvolture de [François] Bayrou est une claque.”
Au calculateur de BFMTV, mercredi tandis d’un assemblée en échange de la pédocriminalité antérieurement Notre-Dame de Bétharram [renommé Le Beau Rameau en 2009], Jean-Marie Delbos l’assure : “tout le monde savait, mais tout le monde se taisait.”

À l’étymologie du album des plaintes, Alain Esquerre, lui encore vénérable élève, évoquait apparition février contre de Médiapart “beaucoup d’attouchements sexuels sur des enfants de 8 à 13 ans” qui, aujourd’hui adultes, disent capital été “violemment frappés, masturbés de force ou violés” par des surveillants ou des prêtres de l’surrection.
Ce récent a annoncé jeudi sur France Info qu’il déposera parmi les prochaines semaines un débutant recueil “conséquent” de nouvelles plaintes à l’opposé de l’pension baptisé Bétharram. Il dit aspirer “une déflagration”.
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