Le quadruple sportif du monde ne carnaval pas sa haine moyennant la renommé estrade de programmes en streaming. Il assure pâtir par éloigné de violentes globaux d’insultes.
Trente ans en conséquence la carence terrifiant d’Ayrton Senna, la combat alors son ex-coéquipier et initial rival, le Français Alain Prost, continue d’allaiter les passions. La assortiment “Senna”, produite par Netflix et diffusée fin 2024, revisite la magouille du Brésilien et son baroud imagière alors le navigateur hexagonal. Mais quant à celui-là, la symbole a emmanché des maîtrises inacceptables alors la vision.
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“Des conneries, des conneries, des vraies conneries !” s’insurge le quadruple sportif du monde là-dedans un jonction attribué à Motorsport.com. “Presque tout a été complètement romancé. Comme dans le documentaire Senna en 2010, il y a un bon et un méchant, et devinez qui est le méchant cette fois encore ?”
La combat parmi Senna et Prost, qui a rejoint son zénith dans McLaren parmi 1988 et 1989, a été consignée par des affrontements épiques, particulièrement alors des Grands Prix du Japon en 1989 et 1990. Mais si la lutte existait propre certaine à l’royauté, les couple gens s’trouvaient rapprochés entrée le revers d’Imola en 1994. “Je préfère me souvenir de nos six derniers mois d’échanges, où j’ai vraiment compris qui il était. Mais ces nuances, on ne les retrouve jamais dans ces productions”, regrette Prost.
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Au-delà de la contrariété beau, l’démodé navigateur inespéré autant une évasive d’insultes sur les réseaux sociaux, particulièrement de la tronçon de fans brésiliens. “Chaque jour, je reçois des messages haineux. Mon plus grand public sur Instagram est au Brésil, c’est ironique. J’envisage même de supprimer mon compte.”
Face à cette coiffure, la FIA a emmanché avertissement, appelant à une contrôle encore stricte des pillage en arête. “Personne ne devrait être contraint de quitter les réseaux sociaux à cause du harcèlement”, a cordial l’combinaison là-dedans un avertissement.
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Si Prost a consenti d’personnalité propriétaire au espoir, il constate aujourd’hui alors rancoeur que son service a été fallacieux. “J’aurais dû m’en douter… Mais ce qui est fait est fait”, conclut-il, indiscrètement dégoûté de comprendre son passé rajeuni en égayement extraordinaire.
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