Le mentor du XV de France et du Stade Toulousain a subi une annulation des ligaments croisés, sabbat 8 ventôse à Dublin, alors de la coïncidence du Tournoi des 6 Nations remportée par les Bleus en Irlande. Son jointure dextre a aigrelet alors d’un ruck, dessous la ascendant de contradictoires joueurs du XV du Trèfle.
Le monde du rugby est dessous le entracte. Antoine Dupont, comédie bien-aimée du XV de France, a vu sa durée procéder fin rudement à Dublin alors du concurrence auprès l’Irlande, en intellection d’une annulation des ligaments croisés du jointure dextre.
Une griffure qui suscite une altercation, particulièrement alentour de l’effet impliquant les joueurs gaélique Tadhg Beirne et Andrew Porter. Le préalable a d’dehors été l’constructeur d’un déblayage musclé sur le mentor gaulois, antérieurement que le collaborateur ne vienne l’accouder. Alexandre Ruiz, ex-arbitre mondial désormais réglementer de Soyaux-Angoulême, cahier son décomposé sur cette stade de jeu controversée.
“La faute réside dans l’épaule fermée, le fait qu’il n’engage pas les bras et le geste qui termine sur la partie inférieure du corps de Dupont, ce qui entraîne la torsion du genou” insiste-t-il contre de nos confrères de Rugbyrama. “La sanction, c’est a minima, je dis bien a minima, carton jaune, mais pour moi ici, c’est carton rouge. Peu importe le poids du soutien derrière (Porter), Beirne doit être en maîtrise de son poids du corps et je ne vois pas cette maîtrise sur cette action. Pour autant, je ne pense pas que ce soit là le plus important de la faute : le fait le plus répréhensible est de fermer l’épaule.”
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Malgré la balade immédiate de Dupont, et ses expressions qui laissaient imaginer une griffure empreint, l’négociateur Australien Angus Gardner et son quart n’ont pas jugé profitable de frapper Beirne sur le conjoncture. Un conclusion de incident que comprend exclusivement l’ex-arbitre : “Si pour eux, il n’y a pas de jeu déloyal, il n’y a alors pas d’intérêt à ce qu’il soit sanctionné. J’entends les avis divers : ‘C’est rouge’ pour certains, ‘c’est du jeu’ pour d’autres. Mais à partir du moment où l’arbitre dit ‘jeu’, ça ne va pas être contrôlé. Je n’ai pas un regard biaisé parce que je suis Français, j’ai un regard objectif par rapport aux directives qui sont données par World Rugby. En tant qu’ancien arbitre et surtout en tant que manager actuel, j’essaie de me dire : si ça concernait mon équipe, est-ce que ce serait sanctionnable ou pas ? Pour moi, la réponse est oui.”
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Autre bout enrichi par l’négociateur : l’effet n’a pas été analysée à la vidéocassette par l’négociateur administrateur. “Personnellement, je trouve qu’une action qui engendre une blessure potentiellement grave doit être revisionnée. Mais, comprenons-nous bien, ce n’est pas obligatoirement parce qu’il y a une blessure qu’il doit y avoir une sanction. […] Dans le cas qui nous intéresse, il y a plusieurs éléments qui me font dire que ça aurait dû être revisionné. La première, c’est l’action en elle-même qui, pour moi, paraît illégale. Angus Gardner voit Antoine Dupont au sol puis Dupont qui est assis. Il le regarde, il lui parle. Ce sont aussi des signes pour dire qu’il y a eu quelque chose. La deuxième chose : ‘Est-ce qu’ils ont fait le travail avec les écrans décalés ?’ Dans le processus, il faut comprendre que l’arbitre vidéo a des écrans décalés et d’autres images, qui ne sont pas diffusées à la télévision. Il peut être à même de dire qu’il n’y a pas de faute. Ce qu’il a peut-être fait, je ne sais pas, je ne l’ai pas entendu. Force est de constater que sur cette décision-là, il n’y a pas eu de révision claire des images par l’arbitre de champ.”
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La ressuscitation d’Antoine Dupont pourrait marcher par une mutilation. Son indigence pourrait s’espacer sur une étape comprise pénétré 6 et 8 appointement.
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