Arbitre “bousculé”, “bagarre générale”, président-joueur mis KO : que s’est-il résolument passé tandis du challenge Saint-Quentin / Fournès ?

Nouveaux faits de invasion chez le football gourmet ce dimanche chez le Gard tandis du challenge réfractaire le canne de Saint-Quentin-la-Poterie à celui-là de Fournès (D4), qui ont tranchée à l’hospitalisation du président-joueur du canne

En fin de mêlée, semblable puis le fracture de huchet suprême (le challenge s’est soldé par un 0-0), l’volonté a, continuateur nos informations, été approprié à sujet par des abattis de l’cartel de Fournès. Comme journellement chez ces cas-là, les versions diffèrent.

“Ils m’ont saccagé”

Selon le monarque champion de Fournès, Baptiste Perdereau, “un de mes joueurs, le numéro 10, a applaudi l’arbitre, qui a voulu ensuite agresser mon joueur. Je suis allé le voir, il m’a sauté dessus à coups de poings. Les joueurs de Saint-Quentin m’ont ensuite roué de coups de pied dans la tête, quand j’étais au sol. Ils m’ont saccagé J’ai été transporté, inconscient à l’hôpital de Bagnols-sur-Cèze en service déchocage.” Baptiste Perdereau explique renfermer “une fracture à la mâchoire, au nez, un traumatisme crânien avec une déformation au niveau de la tête.”

“On ne tape pas un arbitre”

La translation du monarque du canne de Saint-Quentin est toute hétéroclite : “Au coup de sifflet final, je suis allé saluer le banc de l’équipe de Fournès, explique Vincent Lopez. Et là, quand je me retourne, il y a une bagarre générale, avec le numéro 4 de Fournès (Baptiste Perdereau) qui a fini au sol”. Selon lui, antérieurement la baroud, “le numéro 4 et le numéro 10 sont allés vers l’arbitre et l’ont bousculé. L’arbitre a agi en légitime défense. On ne tape pas un arbitre. Moi, je prône la non-violence dans les stades.” Selon Vincent Lopez, le président-joueur de Fournès aurait, au introductif, eu des mots pour l’volonté au balade du challenge. “J’avais essayé de dialoguer avec lui pour le calmer”.

Baptiste Perdereau a décidé de révoquer reproche ce lundi “contre l’arbitre et deux joueurs en particulier”.

À ce cirque, nous-mêmes n’avons pas acheté à abouter le quartier Gard Lozère de la Syndicat française de football. Le football gourmet est ordinairement frappé par des faits d’bellicisme et de invasion.