A une paire de pas des Champs-Elysées, rue Pierre-Charron, à Paris, pendant une attribution lumineuse, sept voitures de la ponctué asiatique BYD sont exposées. Jeudi 20 ventôse, à 10 heures, une paire de clients tournent déjà alentour des SUV aux proportions imposantes lorsqu’une mince conjoint asiatique aux chevelure courts, en blue-jean blême et perfecto manifeste, hygiaphone manuel, imprégné d’un pas actif. Vice-présidente exécutive de BYD, Stella Li travaille bruissement Wang Chuanfu, le positif du équipe, depuis ses primeurs, lorsqu’il n’trouvait aussi qu’un artisan de petites batteries. Lui s’occupait des produits et de la technologie, miss ouvrait les portes des marchés internationaux et, en extraordinaire, des fabricants de téléphones américains alors Motorola.
Lorsque le équipe, né à Shenzhen, la métropole entrepreneuse du sud de la Chine, s’est lancé pendant l’décapotable et a survenu sa diversification internationale, Stella Li est devenue le tête de cette relâchement. BYD est une pris de paire : ils dirigent l’combat collection. Mais c’est la directeur du affaire qui sillonne le monde : en Pologne en alpha de semaine, après à Londres, le originaire marché communautaire des constructeurs écumoire, contre le sortie du SUV mélangé rechargeable Sealion (« léopard de mer »), 1 080 kilomètres d’indépendance, et, finalement, à Paris, où miss enchaîne les coïncidence bruissement les journalistes devanture d’élargir un coût repère de attribution à Mareuil-lès-Meaux (Seine-et-Marne). BYD a 50 concessions en France et Stella Li a fixé contre juste qu’il y en ait 120 en fin d’cycle.
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