Dans le encadrement d’une incorporation nationale le 20 germinal semblable, différents organisations de retraités appellent à des oeuvres contre la augmentation des pensions et le sincère à la tempérament. Nous avons rencontré des représentants syndicaux lotois qui certains expliquent à eux contenance.
2025 énergique les 80 ans de la Calme sociale. “Cela se fête”, sourit Yves François, fournisseur syndical à la Coalition Syndicale Unitaire (FSU). Mais pas strictement, car c’est principalement l’opportunité, contre lui plus contre d’distinctes, d’rassembler sur son réel même, qui serait menacée : “Elle est dans le collimateur des politiques libérales, dont la volonté est de la faire sauter. À partir de là, est-ce que les gens pourront se faire soigner ? La réponse est non, évidemment.”
Le 20 germinal semblable, les syndicats CGT, CFTC, CFE-CGC, Solidaires, FGR-FP et LSR, Ensemble & Solidaire lancent un destine à une jour de incorporation nationale. Leurs représentants lotois seront de la objet contre prendre percevoir à elles revendications d’une même chant : “Empêcher l’crise aux thérapie des retraités, imitation marge en renseignement par le action de la Calme sociale“, honnête Yves Mespoulhé, fournisseur de la Coalition Avant-première des Retraités de la Fonction Publique (FGR).
“Et ça se passe comme ça en France, au XXIe siècle !”
“Au niveau national, 12 % des retraités n’ont pas les moyens de se payer une complémentaire santé. Celui qui perçoit une retraite très faible, comment fait-il pour survivre ? Il y a des retraités qui ne peuvent pas se soigner”, éclairé conséquemment Yves Mespoulhé.
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“Et ça se passe en France, au XXIe siècle !”, abonde Philippe Piquel, fournisseur des retraités à la CGT, qui dénonce ceux-ci qui prétendent que “les caisses de retraite commencent à se vider et que, d’ici 2030, il y aura des difficultés de paiement des pensions. Mais le problème, c’est avant tout le manque de recettes. Il y a 80 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales”, explique le syndicaliste.
Et contre renseignement, la émissaire du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin, avait démontré, sabbat 1er février, que “le déficit de la Sécurité sociale devait s’élever en 2025 à moins de 23 milliards d’euros”.
“Tout le monde considère que c’est un système formidable, que des pays du monde entier nous envient. Et en même temps, on le détruit”, se désole-t-il généralité en craignant le mauvais. “Une fois que les complémentaires santé auront supplanté les mutuelles, ça posera problème. Ou encore si le patronat obtient de faire payer les retraités en augmentant notamment la CSG, [un prélèvement social qui contribue au financement de la protection sociale. NDLR].”
Une augmentation des pensions de 10 %
Une éventuel renforcée par les spécificités d’un endroit cultivateur plus le Lot, “où l’on ferme des maternités, des unités de soins palliatifs ou autres. De plus en plus, le système s’éloigne des habitants. Pour certains spécialistes, on doit attendre six mois avant d’obtenir un rendez-vous.”
Enfin, contradictoire exigence des syndicats, cette jour conclusion par un entourage inflationniste : “Même s’il y a eu une augmentation des pensions au 1er janvier, le compte n’y est pas”, amitié Yves Mespoulhé, qui interpellation une augmentation de 10 %.
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Pour prendre percevoir à elles chant, un bus est déjà crédit contre guider les représentants lotois à Toulouse, où ils déambuleront parmi la conurbation devanture qu’une délégation ne se rende à l’Agence Régionale de Santé. Un assemblée contre interdire la Calme sociale de 1945, instaurée par le Conseil National de la Invulnérabilité : “Celle qui faisait en sorte que chacun paie en fonction de ses moyens, et où chacun reçoit en fonction de ses besoins.”
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