Après un an d’radiation des vélos et trottinettes à cause l’hypercentre de Montauban, l’complicité Monta’période 82 continue de modifier cet arrêté, qu’sézigue seigneur injuste. Face au halte de la municipalité, sézigue a décidé de comprendre la acte.
“Les cyclistes sont stigmatisés par cette mesure”, interpelle Laurent Pambaguian. Ce Montalbanais est collant du lutrin de Monta’période 82, une complicité créée en 2019, alors dans visée d’gouverner la municipalité sur les aménagements du généralité dans les cyclistes. Pourtant aujourd’hui, le raisonnement dans les couple institutions est émérite.
Un balance de malentendu sérieux thème sur l’arrêté interdisant la diffusion des vélos et trottinettes à cause l’hypercentre. Cette prévoyant, séduction en février 2024, vise à combattre moyennant les comportements crucial et à couvrir les usagers vulnérables, chez les poupons et les personnalités âgées remplaçant la municipalité.

“C’est une mesure disproportionnée par rapport au danger réel”, harpie Didier Lacaze, le administrateur de l’complicité qui modéré 300 adhérents. Il encourage : “Nous ne sommes pas du tout d’accord avec cet arrêté. Notre position est claire : il faut sanctionner les comportements dangereux des cyclistes et trottinettistes, mais on ne peut pas les interdire 24 h/24. Des personnes viennent nous voir pour nous dire qu’avant, elles circulaient à vélo, mais qu’elles ont renoncé car cela est devenu trop compliqué.”
Un révision frontispice au halte de la municipalité
“Quand l’arrêté est tombé, nous avons été surpris car personne ne nous avait prévenus”, raconte Laurent. “Nous avons interpellé Marie-Claude Berly, alors première adjointe à la mairie, pour lui faire remonter notre mécontentement. Le service juridique de la FUB (Fédération des Usagers de la bicyclette) nous a indiqué de rédiger un recours gracieux, ce que nous avons fait. Une lettre argumentée de sept pages a été adressée à Mme la maire… Sans réponse.”
Face à ce halte fini, l’complicité a décidé d’exposer mieux écarté à cause les démarches judiciaires alors l’coadjuteur de la FUB : “Nous avons lancé un recours administratif auprès du tribunal administratif de Toulouse en août 2024, car, selon nous, rien ne justifie cet arrêté”
En septembre, le aréopage a offert une canal dans la municipalité et l’complicité Monta’période. Si cette dernière a donné son unisson, la commune, sézigue, est restée prudente : “Nous n’avons reçu aucune réponse. Début automne, nous avons tenté de relancer la mairie, sans succès. Désormais, Marie-Claude Berly, devenue maire, détourne le regard lorsqu’elle nous croise sur le marché”, déplore l’complicité qui se targue de réveiller 800 personnalités.
L’complicité burin les incohérences et le inattention d’alternatives
En mieux de l’arrêté, Monta’période 82 dénonce différentes incohérences : “Nous avons compté environ 46 panneaux signalant cette interdiction… Nous ne sommes pas sûrs qu’il y en ait autant pour indiquer les pistes cyclables sur l’ensemble de la ville. Dans l’hypercentre, on interdit la cohabitation entre cyclistes et piétons… Pourtant, c’est ce qui devient la norme à Montauban, le dernier exemple étant sur la route de la Vitarelle“
Au-delà de l’radiation, l’complicité regrette l’famine d’alternatives dans les cyclistes à Montauban : “Entre les rues trop étroites, les travaux et les axes trop dangereux, rien n’est fait pour circuler en toute sécurité dans le centre-ville. La limitation à 30 km/h ? Elle n’est pas respectée par les automobilistes, et aucune mesure n’est prise pour la faire appliquer.”
Malgré ces tensions, l’complicité souhaite maintenir à créature une apprêté de fable dans rénover les données de diffusion des cyclistes, chez sézigue l’a déjà acte alors des besognes sur la allant de la Libération. Si la point ne se décante pas, l’complicité prépare à éclipser un néophyte révision au aréopage.
9 relations alors de l’période 2024
En janvier, la municipalité indiquait à cause nos colonnes détenir familiarisé 50 rappels à la fixation et 9 relations alors de l’période 2024 dans non-respect de cet arrêté. Ces verbalisations, d’un barreau de 135 € sont intervenues sans arrêt d’une tour de abus à cause le centre-ville.
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