
Pour intégraux, la résultat de culte a éternel le même progrès. En découvrant là-dedans les médias les témoignages des ancestraux élèves de Notre-Dame de Bétharram, table seul du Béarn, ils ont été saisis par l’adage d’disposer « réel la même légende » tandis de à eux parcours là-dedans une étrange externat intestine paroissien. Et de autorité, ou de obligation, exprimer à à eux alternance ces années émaillées de brutalités physiques et, là-dedans divers cas, sexuelles.
Dans le fente de l’entreprenant de l’table de Bétharram, que 152 ancestraux élèves, à présentement, mettent en exposition à cause des faits de outrage, d’invasion sexuelle et de courage, pénétré la fin des années 1950 et 2010, « des témoignages (…) arrivent de mondialement », rapporte Pascal Gelie, partisan du indécis de victimes de l’table béarnais. Au moins quatre vagues ont été constitués par des ancestraux élèves d’dissemblables institutions, toutes dessous accord d’annexion pour l’Etat : Notre-Dame de Garaison, à Monléon-Magnoac (Hautes-Pyrénées), Notre-Dame du Sacré-Cœur, à Dax (Landes), Saint-François-Xavier, à Ustaritz (Pyrénées-Atlantiques), et Saint-Pierre, au Relecq-Kerhuon (Finistère). Une incorporation des vagues a été créée, contre d’convertir sur les recueils respectives.
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