“Dans les bons et mauvais moments, je suis solidaire de ma tribune” : les supporters montpelliérains du MHSC compris admonestation et blanchiment

Chaos debout. Alors que le MHSC rencontrait régi 0-2 figure à Saint-Étienne, dimanche 16 germinal, des débordements ont eu angle pendant les tribunes du niveau de la Mosson. Jets de fumigènes, de sièges, de portes de aise, vraiment brûlant pendant la tréteaux Gâtine de Thau, la moment a éperdument imbécile pile ficher pendant le anarchie in extenso.

L’ultra de la Butte Paillade Bouba comprend pendant l’hâte des supporters : “Ils en ont eu ras le bol. Dans ma tête, je savais que si on prenait le 2-0, ça allait être tendu. Dans les bons et les mauvais moments, je suis solidaire de ma tribune parce qu’on ne peut pas être là seulement quand tout est rose. Les matchs d’avant, ils ont été irréprochables.” L’démodé monarque du assemblé de supporters n’a pas participé aux débordements : “J’ai pris un peu de recul. J’ai 47 ans maintenant, mais peut-être qu’à 20 ans, je n’aurais pas été aussi patient”, explique-t-il, en soulignant “la faute professionnelle des joueurs”, sur le second but reçu.

Scène de déraison à la éclosion

Pour Lucas, porter appuyé précocement sa télé, toutefois d’expérience à La Mosson, la aigreur est pareillement justifié. “Je trouve ça complètement légitime, et encore pour moi, ce n’est rien comparé à ce qu’ils méritent. Il n’y avait pas tant de fumigènes que ça. Malheureusement il y a des blessés”, regrette-t-il.

Sept âmes ont été modérément blessées et double public ont été interpellés. “Si j’avais été en tribune, comme je ne suis pas ultra, je n’aurais peut-être rien jeté sur les CRS, mais j’aurais fait des doigts, j’aurais insulté.” Pour réminiscence, l’début de fumigènes pendant les stades est épouvantablement réglementée. Certains modèles sont d’distant illicites pendant les conversation sportives.

Abonné en Gévaudan, Pierre adoré que les ultras sont allés un peu excessivement éloigné en agressant un stadier bruissement un bombe. “Ils ont abusé, notamment le fait de descendre toutes les portes dans la tribune. Je ne vais pas légitimer ça. Après que le match s’arrête, ça ne me dérange pas. Honnêtement, cette année, la Butte, ils n’ont rien fait de ouf non plus.”

A dévorer pareillement :
Chaos à La Mosson : “Toutes nos pensées vont aux personnes blessées”, puis les incidents, le MHSC chausse-pied un bordereau

Les heurts se sont en conséquence poursuivis en abord du niveau. Plusieurs affrontements compris supporters et les CRS ont eu angle à la éclosion, au admirable compagnie des familles. “J’étais dans une tribune très familiale. On nous a demandé d’évacuer le stade puis quand on a voulu partir, ils ont fermé la sortie juste devant nous”, s’étonne Pierre. “Quand on est sorti, c’était le chaos. Tu avais des CRS qui couraient partout. C’était un nuage de gaz. À tout moment, les forces de l’ordre pouvaient t’attraper”, raconte le porter. De son côté, Bouba dit travailleur pardonné divers sévices en exercice à sa coche.

“Maintenant je regarderai de loin”

Avant les débordements, les supporters, déjà résignés, entonnaient “On va en Ligue 2.” La fin moment s’augure longuette. Certains ont écho une crucifix là-dessus. “La situation est cataclysmique et des images qui vont rester (Sic). Ça n’aide pas le foot mais c’est le jeu malheureusement. Maintenant, je regarderai de loin jusqu’à la saison pro”, libelle Brice sur X (autrefois Twitter). “La fin de saison sera sans offre légale, sans offre illégale et surtout sans stade de la Mosson”, déclare Ben sur le canal sociologique. Cette faillite est un neuf lésion sur la mine des supporters. “Je l’ai vécu comme une petite mort du club, je n’arrive pas à voir où on en est”, témoigne Bouba.

Pour Pierre, ce coupe est celui-ci de excessivement. “Cette année, je ne retournerai plus en déplacement. Je pense que j’irai au stade face au PSG pour le dernier match de Ligue 1, c’est tout.”