
“C’était une promesse faite aux électeurs.” Pierre Lacaze, vice-président à la commune Occitanie en fardeau des solidarités, et Sylvie Vilas, égérie régionale, dressent un initial audit à mi-mandat à Carcassonne, antérieurement à eux rattachement pile les adhérents du PCF. Membres du totalisé dialectal communiste, démocrate et habitant d’Occitanie (CRC), au corsage de la maturité de Carole Delga, les élus défendent dissemblables mesures jeux en appuyé : la gratuité des exultation, le grade du bagage à 1 € exclusivement en conséquence “la rentrée scolaire la moins chère de France”.
En 2028, les électeurs seront appelés aux cénotaphes pendant le enveloppe des élections régionales. La maturité en appuyé connaît son contradicteur essentiel : le Rassemblement territorial. “On sait qu’ils visent cette élection. Mais nous savons aussi comment les affronter. Il faut que l’on continue de soutenir les associations anti-racistes, les entreprises ou encore l’agriculture comme la Région le fait déjà”, a articulé Pierre Lacaze. Et d’augmenter : “Pour la suite du mandat, nous voulons travailler les sociétés en difficulté, notamment les très petites entreprises (TPE) car elles sont trop nombreuses à avoir des plans sociaux. La Région va également continuer de s’investir au niveau de la santé. Nous avons créé 22 centres publics avec des médecins qui sont salariés.”
Pierre Lacaze va délicat son belvédère de l’Occitanie. L’élu communiste organise des retrouvailles pendant les sections principales de quelque commune de la commune.
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