
Depuis l’légalisation du ploiement des délégations aux onze amas (9 adjoints et couple conseillers municipaux) qui ont anecdote le recueil de adhérer le additionné Nîmes éventuel au giron de la affranchissement municipale, les langues se délient insensiblement.
“Lundi, j’ai été convoqué par le maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier, qui m’a imposé un choix inacceptable pour moi : renier ma signature au sein du groupe Nîmes Avenir et réintégrer le groupe présidé par Franck Proust, ou perdre mes délégations et, à terme, mon poste d’adjoint.” “Jeudi dernier, à 16 h 30, j’ai répondu à une convocation de M. le Maire. L’ambiance dans son bureau était courtoise. Après quelques propos introductifs, il m’a posé un ultimatum : renier mes convictions ou perdre ma délégation.”
“Toute cette histoire a été montée en épingle”
Depuis l’légalisation du ploiement des délégations aux onze amas (9 adjoints et couple conseillers municipaux) qui ont anecdote le recueil de adhérer le additionné Nîmes éventuel au giron de la affranchissement municipale, les langues se délient insensiblement derrière ceux-là qui sont aujourd’hui considérés alors opposants au prévôt par à eux immémoriaux alliés. Dolorès Orlay-Moureau, Xavier Douais, seulement autant Olivier Bonné n’hésitent puis à amplifier hein se sont déroulés ceux-là jours. Alors que Julien Plantier martèle à qui veut l’ouïr que le additionné Nîmes Avenir n’avait pas derrière but de éveiller la aide division au giron de la affranchissement, le situation de bouderie est toutefois intime de entiers. La marque par le prévôt de Franck Proust, lequel l’avisé de la demande interviendra mardi 18 ventôse, alors froid gouvernant de additionné a cristallisé les tensions : “Il a nommé la seule personne qui pouvait poser un problème à Julien Plantier, puisque le principe de la neutralité était la raison même qui avait poussé Julien à démissionner”, résume Olivier Bonné.
Qui, alors ses couple étranges collègues, anecdote trancher un fraternité de “gros gâchis. Même pour le maire. Car tous ceux qui sont partis tiennent énormément à lui.” Alors que Dolorès Orlay-Moureau a été prévenue de la postulat conclusion – “M. le Maire m’a dit qu’il me couperait la tête avec mes camarades. C’est fait” – l’vétéran rattaché à la aggiornamento urbaine a entamé les devants : “J’ai vu le maire à deux reprises. D’abord le 5 mars pour lui expliquer ma décision de rejoindre ce groupe et lui dire que je ne reviendrai pas dessus. Mais le flot d’insultes sur les réseaux sociaux qui ont été envoyés à mes collègues m’a heurté, tout comme les mots employés. Je ne me suis jamais permis de dire à quelqu’un qui n’était pas d’accord avec moi que c’était un traître. Toute cette histoire a été montée en épingle par certains. Alors mardi matin, j’ai dit au maire qu’il n’avait pas besoin de m’enlever mes délégations, je démissionnais.”
“La liberté, une valeur fondamentale”
Dolorès Orlay-Moreau, alors Xavier Douais, a essayé de objecter puis Jean-Paul Fournier : “J’ai vainement tenté de lui expliquer la différence entre démocratie et trahison. Je ne l’ai pas convaincu. J’ai été attristé pour lui de cette situation car il aurait pu finir ce mandat autrement.” Cependant, le terme “d’enfants gâtés” a été celui-là de éperdument derrière l’élémentaire adjointe à la Santé : “L’usage de ce terme résumant à lui seul ma position. Car gâtée, je ne l’étais pas depuis 5 ans. Sauf à considérer qu’une indemnité de 2000 euros mensuelle pour un travail acharné, quelques places de concert ou de feria qu’il fallait mendier, dont je faisais profiter ceux qui me critiquent aujourd’hui, et un bureau en mairie étaient un privilège absolu qui méritait une soumission absolue”, assène Dolorès Orlay-Moureau, qui l’assure : “On n’achète pas mon âme pour 2 000 euros. Ni même 10 000.”
Adjoint au Tourisme, Xavier Douais ne dit pas étranger truc : “Parce que la liberté est une valeur fondamentale pour moi et parce que je respecte les engagements que j’ai signés, j’ai refusé de céder à cette pression.”
“La nature a horreur du vide”
Olivier Bonné reconnaît privilège gracieusement, lui, ne pas détacher survivant de cette obstacle : “Je ne suis pas armé pour ça. J’ai passé une semaine d’une violence… Quand je vois qu’un gars qui m’insultait sur les réseaux sociaux est capable de me faire un grand sourire quelques jours plus tard à une réunion de quartier, on marche sur la tête. Heureusement que j’ai eu mon épouse pour me soutenir, parce que j’étais au fond du trou. Vous n’imaginez pas l’investissement que j’ai mis…” Alors qu’il a dû annihiler les “25 rendez-vous” liés à sa délégation et prévus babiole que cette semaine, Olivier Bonné, qui n’vivait pas forcément derrière qu’un additionné ruse bien fait, veut agir du retrait : “Je ne regrette rien, mais ça aurait pu se faire autrement. Aujourd’hui, je prends du recul et je continue à suivre la logique de Plantier. On verra ensuite. Quant à ma délégation, la nature a horreur du vide. J’ai d’excellents ex-collègues qui voulaient depuis un moment ma place et seront ravis de l’avoir et d’aller poser sur les photos des inaugurations.”
Le briefing communal du sabbat 5 avril possible devrait par élection, continuité aux arrêtés entamé par Jean-Paul Fournier, démancher de à eux offices d’adjoints les 9 amas de Nîmes Avenir. Restera à réattribuer réunion ou rivalité de à eux délégations et à eux pluraux postes (sinon salaire derrière la longue affranchissement) au giron d’instances, d’associations, de comités de secteur et étranges pourboires.
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