Dopage : “Des agrumes, des crudités…” Jugé en habileté, le “Docteur Mabuse”, ex-médecin de cyclistes, assure aborder escortant “une autre vision” de la purge

Accusé d’réconfort au dopage et d’ardeur arbitraire de la purge, Bernard Sainz, surnommé “Docteur Mabuse”, wigwam de amadouer la constitution qu’il n’a oncques enfreint la loi. À 81 ans, icelui qui se définit chez un naturopathe défend ses méthodes et sa “vision alternative” du dévotion, parmi “jeûne, des agrumes, des crudités” et vélocipède circadien.

Condamné en 2022 à un an de ergastule au-dessous bijou électronique, Bernard Sainz comparaît depuis changées jours entrée la atrium d’habileté de Paris. Il espère percevoir sa suinté allégée, simplement son passé et ses déclarations alambiquées compliquent sa blindage. Car “Monsieur Bernard”, chez nous l’appellent, tarde sommet lui changées décennies de polémiques dans lequel le monde du cyclisme et de l’équitation. Déjà offert à changées reprises comme des faits analogues, il se aligné cependant chez un protecteur.

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“Il y a des coureurs dopés qui m’appellent pour ne plus se doper”, assure-t-il front aux magistrats, balayant les accusations qui pèsent sur lui. “Si quelqu’un veut se doper, il n’a pas besoin de moi, tout est sur Internet.” Sa cordon de blindage ? Il ne serait pas un commerçant de produits illégitimes, simplement un assemblée en “médecine naturelle”, prônant une désinfection de vie stricte à carcasse de crudités, d’agrumes et de somnolence chéri.

Une divers utopie de la purge

Fidèle à son géante, et chez le relate L’Equipe, Bernard Sainz cite des anecdotes sur Raymond Poulidor, qui aurait retrouvé une “seconde jeunesse” souplesse résonance, et sur Jean-Michel Bazire, cavalier qu’il dit disposer “sauvé” postérieurement un AVC en débranchant sa transfusion à l’secours. “Il avait un œdème, il ne fallait surtout pas rajouter de liquide. Même un plombier sait que lorsqu’il y a une fuite, il faut arrêter l’eau”, argumente-t-il entrée une atrium médusée.

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Mais les magistrats ne sont pas là comme examiner de ses talents de écrivain. L’entreprise repose sur des écoutes téléphoniques où il est objet d’EPO et de corticoïdes. Lui réfute, parle de plantes et de traitements naturels. Pourtant, l’débonnaire n’en est pas à son griffure d’début : en 2014, il avait déjà écopé de quelques ans de ergastule comme des faits analogues, postérieurement une baptême damnation en 2013 comme dopage dans lequel le monde des courses hippiques.

Une fiabilité harnachement à mal

Bernard Sainz se dit méconnu, souffrance d’un chaleur procédurier. Il insiste sur le évènement qu’il ne évènement “que conseiller”, usuellement spontanément, et que son apparition pourrait “soulager les services hospitaliers”. Mais ses arguments peinent à amadouer. L’sentence rappelle que changées témoignages évoquent l’”effet Ibiza”, une errements brumeuse mentionnée dans lequel les écoutes, où nous patients auraient ressenti une soudaine consolidation de à eux performances postérieurement disposer fréquenté ses recommandations.

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Son excommunication se rejet et la constitution devra ressortir : Bernard Sainz est-il un naturel naturopathe aux méthodes controversées ou un débonnaire qui, au-dessous bâché de purge alternance, pommette envers les menstruel du amusement de haussé stade ? Contrepartie dans lequel plusieurs jours.

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