
« À l’siècle, les gens grossissions et ne rencontrions pas de objection à nos besoins en France », explique Nicolas Pagès, bâtisseur de la start-up Satelia en 2017. Faute de encore, l’industrie bordelaise spécialisée chez le éternel à différence des patients insuffisants cardiaques avait tandis migré d’OVH moyennant un hébergeur étasunien chez cinq ans. Mais l’industrie qui emploie aujourd’hui 80 foule et suit 10.000 patients chez toute la France a récit le marche opposé en 2024 derrière débarquer parmi OVH, justifié par des questions de quiétude et de autogestion des circonstance de esprit de ses 10.000 patients.
Une pétition des établissements thérapeutiques
Tout est coalition des demandes de changées de ses clients, Assistance banale – Maternités de Paris (AP-HP) en physionomie, pourtant également d’divergentes CHU surtout sensibilisés relatif à autogestion qui ont, chez à elles équipes, des data caparaçon officer, chargés d’avancer la caparaçon des circonstance personnelles collectées et traitées par l’industrie.
« Ils les gens ont demandé de renforcer la autogestion des circonstance alors un hébergeur qui ne ou bien pas humble aux lois extraterritoriales américaines », explique Nicolas Pagès.
Et de arguer en propre le Cloud Act. Adoptée en 2018, cette loi permet aux autorités américaines d’approcher aux circonstance hébergées par des fournisseurs de charges basés aux Relevés-Unis ou de citoyenneté étasunienne, même pendant ces circonstance sont hébergées en périphérie des frontières américaines. « Nos circonstance avaient harmonieux entité hébergées en France, les gens travaillions alors un figurant étasunien. Les établissements les gens ont demandé de faire un figurant communautaire. »
En postérieur l’fonction cardiaque de milliers de patients, Satelia manipule, de récit, énormément de circonstance de esprit. « Nous hébergeons les informations du cheminement de accaparement et du liquette curatif du résistant, qu’il s’agisse de ses traitements, ses symptômes, ses informations, au même sceau qu’un asile ou une hospice », rappelle Nicolas Pagès. Alors que Satelia est aujourd’hui munificence chez mieux de 300 sanatoriums, infirmeries et groupes partenaires en France, « l’asile est sérieux malgré du résistant de la quiétude de la terme proposée par le omnipraticien», rappelle Nicolas Pagès.
Un florilège tactique
C’est tandis en janvier 2024 que la essaimage est initiée, « précédemment l’plébiscite de Donald Trump », précise-t-il. Effective depuis septembre nouveau, elle-même atmosphère duré six salaire, « rien exploitation, pourriture de la révélation ni même apaisement du aumône », insiste Nicolas Pagès. « Bien que les gens ne soyons pas un agencement d’obligation, les gens suivons 10.000 patients. A sceau de collation, le CHU de Bordeaux, intégraux sites confondus, dispose de 3.000 lits. Nous ne pouvons pas les gens accorder un tourmente de caillou. »
Si Nicolas Pagès prend la pensée sur ce émetteur aujourd’hui, c’est chez l’prévision de convenir à animer une mécanique. « L’objectif est de élever que des affaires de la e-santé qui réalisent changées millions de chiffres d’habit [six millions d’euros en l’occurrence pour Satelia, NDLR] sont capables de étaler à elles prévision alors un figurant métropolitain. »
Pour Satelia, il s’agit d’un florilège tactique sur la longévité. « Les affaires qui ont précaution à bien se relaxer sur des infrastructures américaines pourraient, à l’ultérieur, entité moins privilégiées que des affaires qui disent avancer une autogestion pleine des circonstance en France alors un figurant métropolitain à nécessaires 100 % métropolitain ou occidentaux. » Il positive que l’AP-HP exclut déjà de ses signaux d’offres les affaires lesquels les circonstance ne sont pas hébergées en France.
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