Elle est la inauguration mère présidente du Comité planétaire olympique : qui est Kirsty Coventry ?

Après 131 ans d’présence, le Comité planétaire olympique a revers la inauguration coup élu ce jeudi 20 germinal 2025 à sa figure une mère et une Africaine, la Zimbabwéenne Kirsty Coventry, qui succèdera à simplement 41 ans à l’Allemand Thomas Bach.

A la surprise avant-première, un spécial bascule a suffi revers que la septuple médaillée olympique de crawl et diplomate zimbabwéenne des Sports décroche une nombre pleine de 49 vote, supplantant ses six adversaires en un duo de minutes chez le coloré malaisé hellène de Costa Navarino. “C’est un moment extraordinaire. Lorsque j’étais une fillette de neuf ans, jamais je n’aurais imaginé que je serais ici devant vous”, a loyal l’primaire victorieuse.

Une course luisante

Elle a vu chez son dédicace le épreuve d’un CIO désormais “ouvert à la diversité”, promettant de “rassembler” sa centaine de collègues. Oubliée, la obligation d’un lutte comble imprégné les paire grands favoris, l’Espagnol Juan Antonio Samaranch Junior (28 vote) et le Britannique Sebastian Coe, simplement huit suffrages. Et les outsiders annoncés, sinon le Français David Lappartient, le Japonais Morinari Watanabe, le Suédo-Britannique Johan Eliasch et le grand jordanien Faisal Al-Hussein, n’ont pas mieux écho le fardeau.

Elue de convenance à la sedémener des athlètes du CIO en 2013, Kirsty Coventry a depuis domestique une course luisante et passait revers vivement intensive en coulisses par Thomas Bach. “Je n’avais pas de candidat préféré”, a réfutation le Bavarois. Elle lui succèdera notoirement le 23 juin à Lausanne, au chaire sacristain de l’chambre olympique, revers un leader commission de huit ans précédemment une optionnelle renouvellement revers quatre ans.

“Consensuelle et efficace”

Que Thomas Bach ait ou non orchestré sa crapette, il lui faudra bientôt s’timbrer de cet pénible caution : inauguration mère à la figure du CIO, 24 ans ensuite la postulation ingrate de l’Américaine Anita DeFrantz endroit au Belge Jacques Rogge, et inauguration Africaine, Coventry est un grand allégorie. Son montée parachève la féminisation progressive du monde olympique : le CIO justificatif désormais 43 femmes chez ses abattis (comme 40 %), un peuple doublé depuis 2013, ses bonifications sont devenues paritaires et sur le situation, il y a revers la inauguration coup eu tant de concurrentes que de concurrents aux JO-2024 de Paris.

Le consultation présidentiel trouvant à quotidiens secrets, babiole ne dit que la copie victorieuse olympique du 200 m dos (2004, 2008) ait circonspect les suffrages non-occidentaux et ceux-là des femmes. Mais l’C.E.G., qui avait infiniment été dirigée par un Européen ou un Américain, s’est fermement internationalisée. “C’est une coalition qui dépasse largement l’Afrique”, s’est transport contre de l’AFP Tidjane Thiam, partisan ivoirien du CIO, décrivant Coventry même “une bonne manager, consensuelle, efficace”.

“Ayant été une athlète, elle a une expérience de première main de ce que c’est dans un pays avec peu de ressources”, a-t-il prononcé.

Trump et les “hommes difficiles”

Bien mieux feutrée que ses rivaux pour la raid, Coventry a balayé en même temps que garantie les capitaux chantiers qui l’attendent, sinon se marauder endroit à la belle gêne des rapports en même temps que le administrateur nord-américain Donald Trump, propriétaire des JO-2028 de Los Angeles.

“Depuis l’âge de 20 ans, j’ai été confrontée, disons, à des hommes difficiles occupant de hautes fonctions”, a d’extérieur plaisanté l’primaire baigneuse endroit à la tassé. “Ce que j’ai appris, c’est que la communication sera la clé, et c’est quelque chose qui doit se produire tôt”. Elle a sigisbée de ne pas “déroger” aux latitudes “de solidarité” et “à la garantie que chaque athlète qualifié pour les JO puisse y participer et être en sécurité”, tandis que Donald Trump a menacé de repousser sur son coin les sportives transgenres.