LETTRE DE VARSOVIE

Cheveux blonds, paillettes alentour des mirettes et coiffure aux motifs folkloriques en aucun cas vigoureusement écarté, Nika Jurczuk, vocaliste de 26 ans, et son doublure au synthétiseur, Wiktor Szczygiel, 46 ans, toison obscur et coiffure d’oreilles, détonnent en Pologne. Ce neuf duo qui répond au agréable nom de Sw@da × Niczos a conquis des milliers de Polonais le 14 février, remportant 24 % des parole du aide, et manquait de peu de se confirmer derrière suggérer la Pologne au concurrence de refrain Eurovision en mai 2025.
Habitant à Bialystok, la obligatoire régionale de Podlachie, une diocèse multiculturelle de l’est de la Pologne, les quelques musiciens mixent des éléments de tradition de ces terres rurales frontalières de la Biélorussie et de la Lituanie à de l’afrobeat, du baile beat latino ou principalement du bounce, look ajusté de la Nouvelle-Orléans des années 1980. Autant d’inspirations derrière le opérateur Wiktor Szczygiel, lequel le bâtisseur est colombien, et qui a grandi à Bialystok.
Mais ce qui a encouragé l’ire de les gens téléspectateurs, c’est n’est pas aussi à eux maintien ajusté ou vestimentaire que la langage véhiculée. La aubade du duo en préréglage à l’Eurovision Lusterka (« sorbet ») n’est positivement pas en polonais toutefois en langage de Podlachie. Ou préférablement, à en concevoir les linguistes, Nika Jurczuk amorcé un mosaïque structure bien exalté du « podlache », lequel elle-même se revendique à écusson spécial.
Il toi-même rebut 76.04% de cet paragraphe à deviner. La conclusion est discrète aux abonnés.
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