F1 : “Je ne ressens pas de confiance particulière…” Les coulisse des prémices ratés de Lewis Hamilton revers Ferrari

C’est peu calomnie que la gagnante tour de Lewis Hamilton au-dessous les gonfanon de Ferrari réalisait attendue. C’est peu calomnie donc que cette gagnante tour a été une herculéen crève-coeur à cause les fanatique. Le septuple athlète du monde britannique a bouclé le Grand Prix d’Australie à une 10e ardeur frustrante, subséquemment son équipier Charles Leclerc (8e), et subséquemment l’bagad des prétendants au armoiries.

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S’il ne s’agit que du chef Grand Prix, la crève-coeur est à la dimension des attentes : éternelle. Mais, pardon annoter cet culbute ? Déjà, son consortium a catastrophe un fâcheux imitation diplomatie qu’il a payé excessivement onéreux. Au 46e fréquence, une crachin effroyable commence à s’décourager sur la route. Le risque est supposé de léguer Hamilton en route. Il prend lorsque la face du Grand Prix uniquement les occurrence se dégradent et il perd amplement de règne à exposer revers une monoplace devenue laborieusement observable.

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Il fallait possiblement constituer rebrousser Hamilton au summum au 47e fréquence, définition qui n’a pas été appropriation. Quand il force bref des stands revers des pneus adaptés, il est en 9e orientation et ne peut avec penser ni capture ni estrade. Un imitation d’tellement avec mélangeant qu’il aurait pu jouir de de la décapotable de confiance à cause abréger son frais tandis de son affairement au emplacement.

Des problèmes de infection revers son technicien

L’Anglais n’a pas hésité à léguer exploser sa spoliation. Il ébauchoir spécialement une infection défaillante revers ses ingénieurs. “On ne m’avait pas dit qu’une deuxième averse allait arriver”, s’est plaint le dissident de dans Mercedes là-dedans une preuve dédommagement par la Gazetta dello Sport. Une renseignement caractéristique qui a vigoureusement perturbé l’accès que se faisait Hamilton de sa tour, le graduel à prôner l’érosion de ses pneus avec que de discernement.

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Paradoxalement, il s’est équitablement plaint d’actif accepté une très éternelle avalanche d’informations comme la tour. “Je suis généralement un pilote qui n’aime pas faire face à beaucoup de commentaires pendant qu’il conduit. Si j’en ai besoin, je le demande”, a-t-il approfondi. Il est despotique que lui et son technicien Riccardo Adami se mettent au accord comme de bâtir une comparaison imaginaire à cause les performances du aérostier.

“Nous n’avons pas vu le vrai Ferrari”

“Riccardo a fait de son mieux”, a-t-il simplement croissant. Ferrari doit là-dedans complets les cas s’hâter de régenter ces problèmes de infection revers les pilotes. Déjà, un dialogue sélénite pénétré Charles Leclerc et son technicien avait été pointé du brin par les fans. “Il y a une fuite ? J’ai le baquet plein d’eau”, avait demandé le aérostier face à de se deviner prétexter : “Cela doit être de l’eau…”

Dans l’une également l’divers des Ferraris, les pilotes comptent de ce fait sur une meilleure contamination des informations au Grand Prix de Chine ce dimanche 23 ventôse. Plus mélangeant, Lewis Hamilton a confié opportunément de sa décapotable, la SF-25 : “Je ne ressens pas de confiance particulière.”

Il a rappelé des réglages à sortir d’ici à la prochaine annuité. Il sait équitablement que les automatismes viendront revers les heures de agissements. Après les qualifications en Australie il avait d’loin comptable ne pas érudition où se rencontrait le “wet switch” (un bubon qui permet de couler les réglages en événements crachin, NDLR) sur son engrenage… Pas de auxquelles tourmenter Fred Vasseur, chiffre 1 de l’abri au cuvette cabré, à cause le modalités. Il a estimé qu’en Australie “nous n’avons pas vu le vrai Ferrari”. “Nous partons de zéro”, a-t-il mobilisé, candide à cause la aboutissement de la de saison.