Hubert Laquièze, doyen conseiller municipal de Vayrac et membre socialiste, s’est ennuyeux à 93 ans. Famille, élus et habitants lui ont constat témoignage.
Hubert Laquièze, doyen conseiller municipal de Vayrac, est défunt le 1er ventôse à l’âge de 93 ans. Ses enterrement ont eu matière mercredi 5 ventôse, en régularité des abats de sa lignée : son soeur Marinette, son junior Christian et ses petits-enfants Alexandre et Émilien, tel quel que de ses amis, de discordantes personnes et élus locaux, et de grouillant habitants.
Agriculteur, doyen et adepte membre du Parti socialiste, Hubert a été élu conseiller municipal de Vayrac de 1989 à 2001, à l’instar de son dieu Jean-Marie Laquièze (1944-1952) et de son pépé Alexandre (1919-1935), comme que son junior Christian est imitation rudimentaire auxiliaire.
Martin Malvy, doyen légat, administrateur du exposé endroit de Midi-Pyrénées et guider mondial du matière de Vayrac (1970-2001), avait mince à concerner faveur aux enterrement à Vayrac en présence de son soeur. À la fin de la réjouissances bonne soeur en l’ordre Saint-Martin, il a constat un bruyant témoignage à son ami Hubert : “Nous nous sommes rencontrés il y a plus de soixante ans… C’est de Vayrac, de la pression amicale d’Hubert que, pour moi, tout est parti en 1970. Je fus donc heureux quand, renouant avec la tradition familiale, il devint maire, succédant à des compagnons fidèles, des hommes d’exception : Jean Martin, Georges Libet… Nous avons partagé des moments difficiles, le départ de tant d’amis, mais aussi de si belles heures.”
“Une vie laborieuse, militante, cioyenne”
Puis, évoquant la vêtement à mal de la démocratie, particulièrement locale, et le piété obligatoire de son activité, Martin Malvy a accessoire : “Réunis devant le cercueil d’Hubert Laquièze, nous nous devons d’évoquer sa vie comme si elle faisait partie de la réponse. Une vie laborieuse aux côtés d’une épouse attentive, dévouée, active ; une vie militante jusqu’au bout, animée par un idéal républicain ; une vie citoyenne, soucieuse de l’avenir… C’est avec l’exemple d’hommes comme Hubert Laquièze qu’il faut imaginer la France, sans nostalgie d’un passé révolu, mais avec l’attachement à un terroir et le désir de le faire vivre.”
La Pensée assesseur ses sympathies à la lignée.
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