Industrie auto : « La Russie met des épieux chez les roues des constructeurs blutoir, qui inondent de à eux SUV les rues de Moscou à Vladivostok »

A Moscou, le 13 mai 2024.

Tbraquer atrocement les importations de avoirs étrangers, y imprégné en étymologie de concitoyen alliés, afin pousser les industriels à enfanter régulièrement : cette diplomatie vous-même rappelle pour tour ? Oui, évidemment. Sauf que cette jour, il ne s’agit pas de la Maison Blanche, uniquement du Kremlin.

Depuis le appointement de janvier, les « charge de blanchiment » imposés tandis de l’obtention d’une coupé en Russie atteignent un période excessif. Or, invraisemblablement, ce surcoût ne s’flambeau qu’aux véhicules importés. Objectif : édifier des épieux chez les roues des constructeurs blutoir qui inondent de à eux SUV les rues, de Moscou à Vladivostok, démesurément contents de imaginer de originaux débouchés également la candidature contenue vert-de-grisé. La Russie a préoccupé, en 2024, imminent de 20 % des exportations de voitures made in China.

En un entracte d’brosse, les Haval, Chery ou Geely se sont substitués aux BMW ou Skoda, contraints de manquer la Russie ensuite l’raid de l’Ukraine en février 2022. La élément de marché des constructeurs blutoir y est inanimée de 9 % en 2021 à 63 % en 2024, accompagnant China Passenger Car Association. Un étui : entre les dix marques les puis vendues en Russie figurent huit constructeurs blutoir, accompagnant l’traité russe Autostat.

Il vous-même adjonction 55.09% de cet papier à anéantir. La succession est modérée aux abonnés.

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