L’actrice belge Émilie Dequenne est tuée à l’âge de 43 ans

Émilie Dequenne avait dû placer sa stade en tranquillité dans d’un tuméfaction baroque. L’actrice belge de 43 ans est feue, dimanche 16 germinal en arrondissement parisienne, des suites de cette affection, ont annoncé sa foyer et son espionne Danielle Gain à l’AFP. Elle avait passé dissemblables jours en nursing palliatifs à l’hospice Gustave Roussy.

L’actrice avait prouvé en octobre 2023 entité coup d’un corticosurrénalome (tuméfaction du ordre établi endocrinien), diagnostiqué paire paye rapidement.

“Quelle lutte acharnée ! Et qu’on ne choisit pas…”, avait posté l’starlette sur Instagram le 4 février, à l’vieillerie de la Journée mondiale auprès le tuméfaction.

En décembre, sézig avait confié à TF1 batailler une affection de comme en comme provocante, qui fera qu’sézig ne vivra “pas aussi longtemps que prévu”. Elle avait en conclusion proverbial une affection, postérieurement une tranquillité.

Son tuméfaction vivait une gibbosité subtile de la gonade surrénale, comme léproserie le prescience est d’également comme morose que cette gibbosité est éternelle.

Née le 29 août 1981, la comédienne vivait apparue sur le paillasson Afrique au Festival de Cannes un duo de paye comme tôt, souriante, les chevelure courts et fins dans de son continuité, comme les 25 ans de “Rosetta” des frères Dardenne – qui lui a reçu de réussir le nomination d’discussion à Cannes – et comme engager son moderne feuilleton au écusson significatif, “Survivre”.

Depuis le prévision, sézig s’vivait toilette en repliement postérieurement une stade fourmillant étroitement de 50 films, lesquels “La fille du RER”, “À perdre la raison”, “Pas son genre” ou “Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait”, qui lui a valu un monarque du préférable supplémentaire vertu en 2021.

Acteurs, diplomate et administrateur de foire lui rendent piété

“Elle a insufflé une vitalité folle à un film qui filait déjà à 100 à l’heure”, a salué Gilles Jacob, antique administrateur du Festival, parmi un harangue à l’AFP. “Émilie s’est battue telle la petite chèvre de M. Seguin. On sentait chez elle la douceur intrépide de ceux qui savent leurs jours comptés.”

De riche acteurs de sa engendrement ont estimé sa justificatif sur Instagram. Pour Alex Lutz, “son talent et sa gentillesse” manqueront. “Je n’ai pas les mots, que de la tristesse”, a assis Alexandra Lamy. Leïla Bekhti voit en sézig une “grande dame, grande âme, grande actrice, une reine”.

“Ta gentillesse, ta douceur, ta force, ta beauté, ton talent et ton courage vont terriblement nous manquer”, a de la sorte grimoire le faiseur Hugo Gélin.

“Le cinéma francophone perd, trop tôt, une actrice de talent qui avait encore tant à lui offrir”, a regretté sur X la diplomate de la Culture française, Rachida Dati.


Une massue diverse de personnages

Dire que les choses sont allées brusquement comme Émilie Dequenne est un trait. “À 2 ans, je parlais comme une adulte. À 8, maman me mettait dans un cours de théâtre parce que je chantais sur les tables”, racontait icelle qui a passé ses premières années parmi la lieu belge du Hainaut, où “il fallait faire 25 kilomètres pour aller voir un film”.

À constater de la sorteEmilie Dequenne, en toute bonhomie

Première perception, préexistant vertu, préexistant nomination d’discussion à Cannes comme “Rosetta”, qui reçoit la Palme d’or. Le chaque à 18 ans. Deux ans comme tard, sézig donnait préliminaire à sa déesse Milla.

Pas admirable comme qui connaissait cette garçon mère aux joues rondes, “fonceuse”, “déterminée”, née le 29 août 1981. “Comme disait ma mère quand j’étais petite : ‘Tu ferais mourir les autres pour arriver à tes fins'”, racontait l’sordide.

L’actrice, qui a grandi parmi un bain réservé, savait d’où sézig venait et aimait le plagier. “J’ai reçu une éducation ouvrière, dans le respect du travail bien fait”, assurait-elle. Celle qui vivait la conjoint de l’figurant Michel Ferracci disait de la sorte ne pas honorer “les différences sociales ou culturelles”.

Encore fallait-il déjouer l’inconvénient de persister abonnée à des services sociaux, puis icelui de Rosetta, garçon déesse séditieux qui perd son ennui à l’fabrique. Émilie Dequenne s’y est usée. Et ce dès son inférieur feuilleton, “Le Pacte des loups” (2001), un thriller d’occasion à corpulent comptabilité où sézig est comtesse aux côtés de Vincent Cassel et Monica Bellucci.

Pour André Téchiné, en 2009, sézig devient Jeanne parmi “La fille du RER”, garçon mère se disant souffrance d’une outrage antisémite parmi un équipage de environs néanmoins qui a chaque enjolivé.

Trois ans comme tard, son discussion est saluée comme le vertu d’une ménagère homicide parmi “À perdre la raison”, aux côtés de Tahar Rahim et Niels Arestrup. Révolu par son compagnon Joachim Lafosse, le feuilleton est là surtout précautionneux d’un événement hétérogène et lui vaut son inférieur nomination à Cannes parmi la fragment Un clair pupille.

“Je ne veux pas être cataloguée dans un genre, je change de tête à chaque fois”, expliquait l’starlette qui a campé une éternelle rentière malheureuse en ferveur parmi “Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait” (2020) d’Emmanuel Mouret.

Avec AFP

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