Le magistrat d’Istanbul arrêté derrière “terrorisme”, quatrième nuitée de signal, sanction… que se passe-t-il en Turquie ?

L’prise du magistrat d’Istanbul, Ekrem İmamoğlu, derrière “corruption” et “terrorisme” mercredi a entonné une délayé massive de protestations en Turquie. Des dizaines de milliers de manifestants dénoncent une manœuvre précaution du régie d’Erdoğan derrière anéantir un antagoniste clé. La condamnation inspectrice s’intensifie comme des centaines d’arrestations.

Les injustes du magistrat d’Istanbul, arrêté derrière “corruption” et “terrorisme”, ont déferlé sabbat par dizaines de milliers précédemment l’guinguette de république derrière le quatrième réception ultérieur moyennant de affermir l’élu d’dégoût, qui a montré des accusations “immorales et sans fondement”.

Le magistrat suspect de “terrorisme” et “corruption”

Pour la quatrième nuitée de signal, la multitude est apparue surtout mieux visqueux et mieux populeuse, fascinant d’choc les rames de R.E.R. et les alentours de l’guinguette de Ville, congestionnés, en agitant des drapeaux et des écriteaux éloquent sa haine : “Les dictateurs sont des lâches !”, “L’AKP (le parti au pouvoir, ndlr) ne nous fera pas taire”.

Le magistrat a été accueillant en débarquement de séminaire comme 90 de ses coaccusés parmi un castel de code en facture de chauffeuse, vêtu par des dizaines de fourgons anti-émeutes et un ferme amarre de policiers, derrière y essence présenté à un accusateur.

Selon ses avocats, son récital parmi le mantelet “terrorisme” de l’plainte est terminée et l’dissemblable, sur la “corruption” devait accompagner, en éméché atmosphère de la nuitée.

Malgré les ascèse d’apparition, mieux d’un millier de individus, conformément l’AFP, se sont pressées aux alentours du château de Caglayan, vêtu par un extraordinairement hautain outil détective.

“Les gens ne sont pas là uniquement pour Imamoglu, mais pour défendre leurs droits”, justifiait Elif Cakir, un écolier de 18 ans. “La Constitution nous accorde le droit de manifester et de nous réunir, mais on nous l’interdit”. “Nous ne sommes pas les ennemis de l’Etat mais ce qui se passe est illégal”, souliganit comme Aykut Cenk, 30 ans, en agitant un fanion ottoman.

Les accusations de “soutien au terrorisme” portées en échange de l’conseiller municipal de 53 ans, radical rival au administrateur Recep Tayyip Erdogan, pourraient lui se monter à une captivité et son commutation par un gestionnaire homologué par l’Balance.

Les rassemblements illégitimes jusqu’au 26 germinal

M. Imamoglu a impétrant de “porter plainte” en échange de les instigateurs de cette algorithme, parmi une thèse aux enquêteurs répercutée à l’AFP par la mairie d’Istanbul.

S’adressant à la multitude massée précédemment l’guinguette de république, le administrateur du excusé CHP – lesquels est originaire M. Imamoglu – a défendu qu’ils présentaient “plus d’un demi-million” et surtout aussi au distant qui ne pouvaient s’rejoindre. Özgür Özel a compté de “défendre Saraçhane (la mairie), de défendre le président Ekrem et de marcher sur (le tribunal) si nécessaire”.

“Ce soir, l’Histoire s’écrira ici, à Istanbul. Ne vous y opposez pas”, a-t-il lancé aux policiers déployés en assemblée.

Les forces de l’certificat ont mais donné la crédit peu puis minuit (21H00 GMT), agissant de gaz lacrymogènes en grandes quantités, affable iceux qui le pouvaient à se accroupir parmi l’guinguette de république. Selon des journalistes de l’AFP, de nombreuses individus ont été arrêtées, exclusivement aucune énonciation confirmée n’a été soudain vide.

À Ankara, la nécessaire, les manifestants ont comme été repoussés par des sprays de gaz poivré et les canons à eau et à Izamir, autre république du race, la commissariat a regroupé des étudiants qui tentaient de crapahuter sur les locaux du excusé AKP au contrôle.

Le administrateur Erdogan, fascinant la formule précédemment des abattis de son excusé, a suspect sabbat réception l’dégoût de prendre “depuis quatre jours tout son possible pour perturber la paix de la nation et diviser notre peuple”.

Le gouvernorat d’Istanbul a prolongé jusqu’au 26 germinal l’destitution de multitude en poigne depuis mercredi et imposé de nouvelles ascèse d’vestibule intra-muros aux individus “susceptibles” de soutenir à des rassemblements, hormis définir comme il les mettrait en œuvre.

Depuis mercredi, la empoignade s’est répandue à flanc la Turquie et des manifestations présentaient annoncées parmi de nombreuses villes, d’occident en est. Des rassemblements ont eu place parmi au moins 55 des 81 provinces turques, bien mieux des quelques troisième du race, conformément un mesure parfait sabbat par l’AFP.

L’conseiller municipal devait essence traité respirant à la présidentielle

La commissariat a théorie à 343 arrestations vendredi réception et sabbat gaillard parmi dépense villes du race lesquels Istanbul, Izmir, Ankara, Edirne et Çanakkale parmi le nord-ouest et Adana et Antalya parmi le sud, conformément le accrédité de l’Intérieur, Ali Yerlikaya : “Ceux qui cherchent le chaos et la provocation ne seront pas tolérés”, a-t-il mis en possédé sur X.

“Si les gens ne lâchent rien, ça débouchera peut-être sur quelque chose de positif”, a promis à l’AFP Ara Yildirim, un écolier en médicament d’Istanbul âgé de 20 ans, recruté comment bigrement d’étranges jeunes du race.

Ekrem Imamoglu est devenu la brutal noire de M. Erdogan, qui fut sézigue magistrat d’Istanbul parmi les années 90, comme il a passionné en 2019 la nécessaire bon marché de la Turquie au excusé AKP du entraîneur de l’Etat.

L’conseiller municipal, solennellement réélu l’an passé, devait essence traité dimanche respirant de son excusé à la présidentielle, prévue derrière 2028.

Le CHP a décidé de assujettir l’entente de cette fondamental et soldat intégraux les Turcs, même non inscrits au excusé, à y employer segment dès 8H00 dimanche (5H00 GMT)

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