Le Parlement du Portugal liquéfié, de nouvelles élections législatives convoquées en mai avoisinant

Troisièmes législatives au Portugal en un peu encore de triade ans. Des élections ont été convoquées le 18 mai alors la décadence du Parlement, annoncée jeudi 13 germinal par le gouvernant contre arracher de la chômage provoquée par la avalanche du gestion de Luis Montenegro.

Le gouvernant Marcelo Rebelo de Sousa (Parti social-démocrate, PSD, coeur intègre) a justifié sa approbation par la assiduité d’prétendre la permanence du ethnie, précisant pendant lequel une propos télévisée que le 18 mai présentait “la date préférée par la majorité des partis”.

“Ces élections, personne ne s’y attendait, ni ne les souhaitait”, pendant lequel un concordance universel abstrus, a-t-il affermi.

À bouquiner de ce faitChute du gestion ibérique : “Même la première République n’avait pas connu ça”

Marcelo Rebelo de Sousa s’exprimait alors capital parcouru jeudi les abats du avertissement d’Justificatif, une approche consultative regroupant les encore hautes hommes politiques, et capital libération mercredi les dirigeants des partis représentés au Parlement.

Les partis et le avertissement d’Justificatif “ont été unanimes” contre la décadence et la vêtement d’élections, a précisé le gouvernant qui a billard à une razzia “digne” qui avoisinant les thèmes qui “préoccupent les Portugais.

Montenegro empêtré dans une polémique sur un possible conflit d’intérêt

Mardi, le Premier ministre Luis Montenegro (PSD), empêtré dans une polémique portant sur ses sociétés familiales, avait été contraint à la démission boulette d’capital décidé une grand nombre de députés de lui souscrire à eux fiabilité. 

À l’avènement de la chômage, une usine de secours de devoirs détenue par sa amie et ses adolescents gardant des contrats pile contraires commerces privées, dans léproserie un formation lesquels l’entrain est soumise à des concessions accordées par l’Justificatif.

Après s’convenir nourri pile les dirigeants des partis représentés au Parlement comme pile les abats du avertissement d’Justificatif, le gouvernant a évincé l’prénotion de exposer de dévoiler un récent Premier émissaire autorisé à créer une grand nombre pendant lequel un Parlement fortement loti, et orné d’braire à la vêtement d’élections anticipées – les troisièmes législatives depuis janvier 2022 pendant lequel le ethnie.

Le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa et le Premier ministre portugais Luis Montenegro lors d'une réunion du Conseil d'État au Palais de Belém à Lisbonne, au Portugal, jeudi 13 mars 2025.
Le gouvernant ibérique Marcelo Rebelo de Sousa et le Premier émissaire ibérique Luis Montenegro alors d’une accolement du Conseil d’Justificatif au Palais de Belém à Lisbonne, au Portugal, jeudi 13 germinal 2025. © Patricia De Melo Moreira, AFP

“On ne peut à la fois faire confiance et se méfier sur le plan éthique et moral d’une personne, dans ce cas du “Premier émissaire et de ce fait du gestion”, a expliqué jeudi le président pour défendre la nécessité de clarifier la situation politique.

Une campagne qui s’annonce éloignée des préoccupations des Portugais

Ces élections sont “une classe de coulée en préalablement” du Premier ministre et de son parti pour “contourner une certificat d’forage” et pour lui permettre de “persister idéologiquement”, a estimé auprès de l’AFP Antonio Costa Pinto, de l’Institut des sciences sociales de l’Université de Lisbonne.

Et dans le contexte politique actuel, le politologue prévoit une campagne qui risque de faire l’impasse sur des thèmes jugés importants par les électeurs, comme la santé ou la crise du logement. “Pour le PSD, le conférence sera que l’conflit a fable plaquer ce gestion étant donné qu’il présentait en attirail de parvenir, et contre les partis d’conflit, le Premier émissaire sera le matière éminent”, a prédit Antonio Costa Pinto.

Luis Montenegro, 52 ans, avait succédé début 2024 au socialiste Antonio Costa, lui-même déjà contraint à la démission en novembre 2023 à cause d’une affaire de trafic d’influence présumé. Antonio Costa, qui a toujours nié toute irrégularité, est depuis devenu président du Conseil européen en juin 2024.

Après huit ans de gouvernement socialiste, l’Alliance démocratique (AD) emmenée par le PSD de Luis Montenegro avait remporté les dernières législatives il y a un an avec 28,8 % des suffrages et 80 députés sur un total de 230, contre 28 % des voix et 78 sièges pour le PS. Le parti populiste Chega (Assez) était alors passé de 12 à 50 députés.

Luis Montenegro a déjà fait savoir qu’il serait candidat à sa propre succession.

Le chef de l’opposition socialiste Pedro Nuno Santos a quant à lui appelé les électeurs à donner une “grand nombre qui permette à un gestion de braquer”.

Avec AFP

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