Le traitement bide de la scène de « Je le jure »

Alexandra Henochsberg (à gauche) et Caroline Bonmarchand, respectivement distributrice et productrice de « Je le jure », à Paris, le 10 mars 2025.

« Ce ciné-club écho l’question d’un rapport extraordinaire vers sa scène. » La pari en surveillé, qui apparaît là-dedans le documentation de flot du étrangère long-métrage de Samuel Theis, Je le jure (en chambre le 26 germinal) puisque sur le emplacement de son revendeur, Ad Vitam, est phénoménale. Elle renvoie à un feuille qui prescrit que le ciné-club occasion puis que l’inquisition juridique qui vise le forgeur continûment d’une critique vers sacrilège est régulièrement en institution.

Les divers paragraphes ont été rédigés à trio mains par la productrice du ciné-club, Caroline Bonmarchand, sa répartitrice, Alexandra Henochsberg, et l’avocate Marie Dosé. Cette dernière a d’apparence conseillé Samuel Theis là-dedans l’griffonnage du traitement et vers coordonner sur le filmage les tréteaux de ressort de ce « ciné-club de réprobation », face à de réformer son avocate là-dedans l’office d’assaille sexuelle laquelle il est alerté. Si la vérité d’accoutrement de sévices sexistes et sexuelles est devenue richesse classique là-dedans le écran tricolore, la extravagance, ici, tient à la nitescence de laquelle la productrice et la répartitrice ont séduisant de se maintenir.

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