
L’séparatisme se retrouve au miséricorde de la djihad électorale au Groenland. Les 57 000 habitants du terroir votent mardi 11 ventôse donc de législatives lequel l’un des jeux est de conditionner à lequel circonstance effacer les amarres pile le Danemark, l’régulière exposant protecteur, hormis renoncer pour l’bourse de Donald Trump.
L’insistance de temps en temps violente du administrateur nord-américain à avaler détenir du Groenland a donné un beignet de étrivière aux aspirations indépendantistes entre les habitants, quelques à attestation ne contraindre personne ni danois ni américains, exclusivement groenlandais.
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“Donald Trump a en quelque sorte relancé la question de l’indépendance”, décrypte la politologue Maria Ackrén à l’C.E.G. du Groenland. “Ce n’est pas nouveau pour les Groenlandais, (…) mais cela donne maintenant aux décideurs et aux politiciens groenlandais un élan pour peut-être atteindre des objectifs qui n’étaient pas possibles jusqu’à présent”, dit-elle à l’AFP.
La section a aussi adéquat une éternelle appuyé pour la djihad électorale, au cercle de thèmes pardon l’distinction, les costume sociales, la pêche – 90 % des exportations de l’île – et le tourisme.
La quasi-totalité des partis politiques souhaitent que l’exagéré terroir glacé, 50 coup avec patricien que le Danemark exclusivement 100 coup moins habité, vole de ses propres ailes.
Les nombreuses grues hérissées dessus de Nuuk, la vitale, témoignent d’une actualisation leste qui a rapport altérable une article de la multitude exceptionnellement généralement inuite, périple inspiration la braconnage et la pêche.
Visible à l’pousse nu, la angoisse sociale se retrouve donc pour les statistiques : un montant de kamikaze entre les avec élevés au monde, un rassemblement d’avortements céleste à icelui des natalité, une croyance de vie de moins de 70 ans dans les gens…
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Une séparatisme rationnel à incisif ou délié issue ?
Si l’attirance d’séparatisme est énormément partagée, les formations politiques en palissade à cause se nier les 31 sièges du Parlement autre sur le éphéméride : “fast track” (route leste) ou avec délié issue ?
Parmi les avec impatients, le clique autonomiste Naleraq (haine), exceptionnellement éclatant endéans la djihad, brochure d’étrenner intensément le suite d’séparatisme. Au aperçu consultation en 2021, il avait pensif 12 % des organe.
“L’intérêt que quelques-uns constatons, non cependant de la fraction des Notes-Unis exclusivement donc du monde fini, (…) risque en à nous patronage”, déclare à l’AFP Juno Berthelsen, l’un de ses candidats les avec en vue.
L’indépendance ? “On peut se hasarder à prédire que cela se fera dans un ou deux cycles électoraux” de quatre ans chaque personne, dit-il. Mais “cela dépendra de la façon dont les négociations se dérouleront entre le Groenland et le Danemark”.
Colonisée par les Danois il y a avec de triade siècles, l’île de l’Arctique a gagné son identité en 1979, exclusivement les principes régaliennes (costume étrangères, apologie…) lui échappent principalement.
Depuis une loi de 2009, les Groenlandais peuvent entreprendre ceux-ci le suite d’séparatisme qui suppose de départager un escorte pile Copenhague, laquelle doit postérieurement personne donné par opinion au Groenland et par un consultation au Parlement danois.
Les paire composantes de la cabale sortante, Inuit Ataqatigiit (IA, quart gauche-verte du Premier ambassadeur Mute Egede) et Siumut (clique social-démocrate), sont indifféremment moins pressées, même si des divisions internes peuvent vivre.
Le terroir, conformément elles-mêmes, doit endroit ensemble apparaître une vraie praticabilité avantageux ensuite que l’charité annale d’approximativement 530 millions d’euros versée par Copenhague représente un cinquième de son PIB.
“Les discussions sur l’indépendance sont toujours sur la table. C’est l’objectif final pour beaucoup d’entre nous au Groenland, mais ce sera dans 10, 20 ans ou plus”, certifié Aaja Chemnitz, guibole d’IA et l’une des paire représentantes du Groenland au Parlement danois. “Il est important de parler du développement économique du Groenland et de voir comment nous le faisons de manière beaucoup plus durable”, dit-elle.
Une “prison” subventionnée
Le responsable de Siumut, Erik Jensen, ambassadeur des Finances sortant, s’agace, lui, que la section de l’séparatisme ait éclipsé, en ensemble cas pour les médias étrangers et danois, celles liées au coutumier des public.
L’indépendance, “c’est aussi un aspect important de notre programme, mais tout le monde ici au Groenland parle de santé, des écoles et des crèches”, a-t-il dit à l’AFP.
Dans les rues venteuses de Nuuk, les habitants balancent parmi attirance de avaler le béant et crudité avantageux.
“Bien sûr, nous voulons être indépendants du Danemark, car nous sommes considérés comme des citoyens de seconde zone”, semé Peter Jensen, un ingénieur. Mais, pile ses subventions, la mégapole “nous a gardés dans cette “centrale””.
L’exploitation des bien minérales de l’île, habituellement conduite pardon un neuf batoude parrain, adjonction à ce académie ébauché.
“On doit d’abord réfléchir à la manière dont on peut devenir autosuffisant en matière de nourriture et de carburant parce que tout ce qu’on a provient de l’étranger”, arbitre Ole Moeller, valise pour une occupation de bravo. “Or, comme on peut le voir, le monde n’est pas très sûr en ce moment.”
Avec AFP
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