“Max Roustan a réussi sa succession” : sinon suspense, Christophe Rivenq devient le inaccoutumé consul de la république d’Alès

Seul aspirant à la enchaînement de Max Roustan, Christophe Rivenq a été élu, à la quasi-unanimité, inaccoutumé consul d’Alès ce sabbat 15 ventôse.

Inutile de converser de suspense ou de griffure de poésie. Il n’y en a eu annulé. Ce sabbat 15 ventôse, Christophe Rivenq, jusque-là préalable assesseur et chef d’Alès Agglo, a été élu inaccoutumé consul d’Alès à la enchaînement de Max Roustan, démissionnaire postérieurement 30 ans de carte blanche.

Une préférence partisane davantage qu’franchement, dès le préalable alternance, plus 36 vote d’élus municipaux en sa auspice, quelques purs et quatre abstentions (engloutir plus loin). Seuls quelques élus présentaient absents de la chambre excès des Assemblées, à l’Atome, où s’est cultivé le choix : Marie-Christine Peyric, avec des raisons personnelles, et le socialiste Arnaud Bord. Ce extrême, qui avait annoncé son ploiement faucille de la vie politicien, n’avait d’autre part pas donné de commission avec cette préférence.

“Quelle belle aventure j’ai vécue !”

“Ce fut une décision difficile pour moi, mais pleine de bon sens.” Avant le élection, Max Roustan a scandé différents mots de détachement et de support. “Quelle belle aventure j’ai vécue ! Encore merci aux services qui m’accompagnent depuis trente ans. Une équipe fidèle, compétente pour Alès. Je sais qu’avec Christophe, il y aura de la continuité. C’est pour cela que je vous demande, comme moi, de lui apporter votre soutien. Je voulais ici proposer une solution d’avenir avec lui.”

“Maire de tous les Alésiens”

Le élection, trop alerte, n’a en conséquence pas eu disette de discordantes tours avec certifier la écho acquis de embarras de Christophe Rivenq.

Choix du inaccoutumé consul d’#Ales. Le choix à ticket cryptique commence. Seul Christophe Rivenq est aspirant. L’antinomie de stupide du renouveau alésien s’abstient du élection pic.twitter.com/qCdCD4Mhln

— Midi Libre Alès (@MidiLibreAles) March 15, 2025

Le inaccoutumé consul d’Alès a laissé une importante consacré à l’agitation dans lequel sa dédicace prédication. “On critique les politiques, et c’est parfois justifié. Mais il y a encore des hommes politiques qui servent la République et qui tiennent leurs engagements“, a-t-il articulé dans lequel son adoration roué à Max Roustan.

Christophe Rivenq : "Je serai le maire de tous les Alésiens."
Christophe Rivenq : “Je serai le maire de tous les Alésiens.”
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

“Je n’avais pas imaginé, le 7 juillet 1992 quand je suis devenu chargé de mission auprès de Max Roustan, que j’allais plus tard devenir maire d’Alès.” Des plainte apparaissent sur la chaire comme ses remerciements s’adressent à son dame, Nathalie, “pour son soutien indéfectible”, et ses petits. “J’ai une pensée pour mes parents, qui nous ont quittés pendant ce mandat. Ils n’avaient pas pu assister à mon élection comme premier adjoint à cause du Covid. Leur absence laisse un grand vide.”

“Max Roustan ne prend pas sa retraite, il va rester à nos côtés de longues années encore !”

Comme annoncé depuis des traitement, ce perturbation de extérieur à la haut de la hôtel de ville ne perturbera pas la course des finance du carte blanche. “Les mois qui arrivent vont être occupés, a poursuivi le nouveau maire. Occupés à travailler pour vous et à mettre un terme aux projets lancés du mandat.” Pour la contrecoup, les mots sont soulignés : “Je serai maire de tous les Alésiens. Ceux qui ont voté pour nous ou non, ceux qui vont voter pour nous ou non, et surtout ceux qui ont besoin de nous.”

Pendant le premier discours du maire élu, Max Roustan n’a pu retenir quelques larmes.
Pendant le préalable oraison du consul élu, Max Roustan n’a pu barrer différents plainte.
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Les derniers mots se sont voulus rassurants avec cette écho ère qui s’contrainte : “Max Roustan ne prend pas sa retraite, il va rester à nos côtés de longues années encore !” Max Roustan devient, alors avoué plus son désormais ex-bras objectif, le inaccoutumé préalable assesseur du consul.

Paul Planque : "Nous ne serons pas complices de ce passage de relais."
Paul Planque : “Nous ne serons pas complices de ce passage de relais.”
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

“Christophe Rivenq n’a pas la légitimité”, la pacte de stupide s’abstient du choix.

Les quatre élus d’antinomie de stupide du Printemps alésien se sont abstenus dans lequel le choix du inaccoutumé consul d’Alès. Une disculpation a été apportée dans lequel une acquis de aphorisme, du communiste Paul Planque. “Chacun sait ici ce qui a pu nous opposer. Au-delà de ces divergences, permettez-moi de saluer un dévouement et une compassion au service des administrés, a-t-il débuté en s’adressant à Max Roustan. Sous son ère, Alès vient de retrouver la démographie dont elle avait besoin. Nous ne pouvons taxer sa gestion d’immobilisme. Je veux saluer l’homme qui fut un redoutable adversaire mais pas un ennemi.”

Les mots sont devenus davantage acides à propos de son bénéficiaire : “Christophe Rivenq n’a pas la légitimité. Il n’a pas l’onction du suffrage populaire. Nous sommes ici dans un arrangement entre amis. L’année qui s’ouvre va être composée d’autopromotion et de coupage de ruban. Nous ne serons pas complices de ce passage de relais et ne participerons pas au vote.”

“Quand on a perdu l’élection avec quarante points d’écart, on devrait être un peu plus modeste”, lui a rétorqué Max Roustan. “Quand j’entends parler, en France, de légitimité démocratique, dans le monde où nous vivons, avec les femmes mises sous cloche, les écrivains mis en prison… Je me demande comment on peut critiquer la démocratie, a ensuite répondu Christophe Rivenq. Vous saviez, tout le monde savait puisque c’était annoncé aux élections en 2020, que Max Roustan allait passer la main. Et je rappelle qu’aux élections municipale, on n’élit pas un maire : on élit des conseillers municipaux qui eux, après, élisent un maire. Dire que le maire n’est pas légitime, c’est ne pas connaître le code général des collectivités territoriales.”

Lors d’une déambulation en ville, le nouveau premier adjoint en a profité pour serrer quelques mains.
Lors d’une mouvement intra-muros, le inaccoutumé préalable assesseur en a profité avec raccourcir différents mains.
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Le conseil municipal a posé pour la traditionnelle photo sur le parvis de la mairie.
Le colloque communal a posé avec la usitée photographie sur le façade de la hôtel de ville.
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

Ysabelle Castor : "Max Roustan a réussi sa succession."
Ysabelle Castor : “Max Roustan a réussi sa succession.”
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

“Pas un clone de Max Roustan”

Présente aux côtés de Max Roustan depuis 1995, vraiment depuis caractéristique précédemment, l’favorite Ysabelle Castor est la doyenne, pas par âge, toutefois par antécédent, aux côtés du désormais consul honorifique d’Alès. “Je le vis à la fois mal et bien, confie-t-elle. C’est difficile : plus que 40 ans de vie politique avec lui… Ce n’est pas le maire que je vois ému, c’est l’ami.” En davantage du survol et des mémoires, miss glose, avec miss, un extrême cime récit non minime : “Il a réussi sa succession. Ce n’est pas donné à tout le monde, on le voit ailleurs. Et qui plus est, avec Christophe Rivenq, on aura quelqu’un qui sera dans sa lignée. Mais qui, et heureusement, ne sera pas un clone de Max Roustan.”

Une excessif vénusté avec Max Roustan

Un an postérieurement affairé été promu au titre de Chevalier de la Troupe d’élévation, Max Roustan a accueilli, en fin de assise, son baccalauréat de consul honorifique des mains de Jérôme Bonet, gouverneur du Gard. Une vénusté intégralement honorable, que l’Note remet aux maires qui ont terminé, au moins, 18 ans de carte blanche. “Si vous aviez un petit effort, j’aurais pu vous en donner deux”, a plaisanté Jérôme Bonet.

Jérôme Bonet, préfet du Gard, a fait le déplacement pour féliciter les deux maires d’Alès.
Jérôme Bonet, gouverneur du Gard, a récit le entrée avec prêcher les quelques maires d’Alès.
Midi Libre – ALEXIS BETHUNE

“Ce diplôme ne vous confère rien d’autre que la reconnaissance pour tout ce que vous avez fait.” Mais caractéristique qu’honorable, le record a pardonné au nonce de l’Note de remémorer un rendu : “Le maire est la première cellule de démocratie dans ce pays.”

Comments are closed.