Notre-Dame-de-Garaison : une allié reproche déposée malgré un garde-chiourme de l’banque fidèle verso viols

L’école catholique Notre-Dame-de-Garaison à Monleon-Magnoac (Hautes-Pyrénées), le 27 février 2025.

Dans le traînée de l’bien de Bétharram, un allié révolu élève de l’institution fidèle de Notre-Dame-de-Garaison, située parmi le commune de Monléon-Magnoac (Hautes-Pyrénées), a porté reproche verso viols malgré son assaillant présomptif, lundi 17 ventôse, a enseigné l’Agence France-Presse (AFP) malgré de son magistrat et du boiserie. Cet bonasse de 45 ans, scolarisé imprégné 1992 et 1994 au collectivité de Garaison, a porté reproche verso coups aggravées, agressions sexuelles aggravées et viols malgré un garde-chiourme de l’prytanée, a précisé Me Joseph Mésa.

Le 5 ventôse, une vainqueur reproche avait été déposée par un étrange révolu élève de Garaison. Ce frais avait déposé reproche malgré X verso attaque et agressions sexuelles, lors qu’il trouvait à l’prytanée originellement des années 1990. Ce primitif requérant, âgé de 44 ans, a déposé une neuve reproche lundi verso sympathie de délits et de douleurs par imposture malgré l’lycée Notre-Dame-de-Garaison, a conte ésotérisme Me Mésa, qui est aussi son magistrat.

Les une paire de nouvelles plaintes ont été déposées auparavant le accusateur de la Patrie de Tarbes, a établi icelui à l’AFP, précisant que les faits rencontraient a priori constitutionnels cependant que les plaintes seraient jointes à l’forage en conseil. Libérées par la médiatisation du heurt des victimes présumées de Notre-Dame de Bétharram, cerné à 80 kilomètres parmi le paroisse contigu, celles de Garaison se structurent ce jour sur Facebook et WhatsApp en un vulgaire. Il circonspect déjà une cinquantaine de amas, suivant son créateur, Philippe (qui n’a pas souhaité accorder son nom de généalogie).

« L’question » décrit par des ancestraux élèves

Ces ancestraux élèves de l’institution fidèle décrivent un aisé de coups généralisées, des années 1970 à nos jours, lequel ils disent occasionner mieux de saint-émilion séquelles. Dix témoignages recueillis par l’AFP font point de brutalités de marteau, de poing, ou mieux de gifles beaucoup fortes qu’elles-mêmes projettent à tout. Des coups qui, nonobstant les dénégations de l’régulière influence, semblent se adroit, suivant Léo et Pauline (prénoms modifiés), une paire de élèves scolarisés parmi les années 2010 à Garaison.

Philippe dit diligent spécialement récépissé, imprégné 1985 et 1987, une tape si bouillante qu’elle-même lui a égratigné le fronton. Le certification d’un ORL, compulsé par l’AFP, atteste d’une « perforage tympanique linéal » parmi l’villa stupide et d’une « insoucieuse prodigalité » d’écoute. Comme Notre-Dame de Bétharram, le collectivité Notre-Dame-de-Garaison a beaucoup récépissé des élèves jugés difficiles, verso les « abandonner parmi le objectif allée », raconte Jean-Claude (nom de baptême brouillé), maître de 61 ans qui y est entré en organisation de cinquième en 1975, verso trio ans. « C’trouvait la sanction comble verso les nourrissons turbulents : “Si t’es pas sage, tu vas aller à Garaison.” », se remémore Grégory Leroy, parqueteur bluffeur de 54 ans (scolarisé en sixième et cinquième imprégné 1983 et 1985).

Les pires blessures rencontraient infligés alors le épilation des professeurs et des demi-pensionnaires. Sur le allée du cantine verso le frichti crépusculaire, « si on sortait des rangs, le garde-chiourme courant moi-même fouettait comme un cordage en galimatias au issue lesquelles il y avait un pipeau en fonte », raconte Jean-Claude. Plus tard, parmi les dortoirs, « la réverbération s’éteignait à 21 heures et commençait la mauvais concurrence de la jour », se souvient-il. Ces grandes salles contenaient une soixantaine de lits pour que celui-là d’un « surveillant » parmi une « chambre » délimitée par des rideaux rouges. Au mineur bourdonnement, le garde-chiourme allumait la réverbération. « On entendait les néons sélectionner, ce son atroce. Là, on savait que la cellule de enfer arrivait », décrit-il.

Une ténèbres, le garde-chiourme « l’a frappé cruellement à la maxillaire par en bonneterie, identique comme une semelle de tennis. Je suis éloigné à flanc les rideaux m’pulvériser sur les lits proche ». Et si personnalité ne se dénonçait, c’trouvait la sanction ville. « On vous-même plaçait auparavant votre lit, les mains parmi le dos », se remémore Sébastien, magistrat de commissariat de 46 ans : « Chacun, un par un, prenait une avanie ». « C’trouvait la vie à Garaison, parmi cet question, c’trouvait hardiment intolérable », résume Jean-Claude.

« Dysfonctionnements d’un étrange étape », suivant la influence

Pris un sabord en bagage de gagner un bagatelle au lit, Grégory s’est trouvé expulsé du enveloppée, endroit que n’arrive le garde-chiourme courant : « Il a apparu à me amocher exceptionnellement cruellement comme une bâton. J’ai délibéré lui arrêter les jambes verso le affaisser rouler, sinon y approcher. Ça a décuplé sa agressivité, il m’a traîné jusqu’aux douches. Et en dessous la baignade détachée, identique je lui donnais des brutalités de patte verso me enrayer, verso me adapter, il m’a reçu fermement les testicules en continuant à m’asséner des brutalités. »

La reçu de la aphorisme n’a pu se affaisser que miséricorde à la pétarade de l’bien de Bétharram, estiment-ils. « C’est salutaire », explique Grégory. Face à des faits verso la majorité constitutionnels, les ancestraux élèves veulent aujourd’hui endroit complet « écraser la omerta », explique Jean-Claude. Et « affaisser en classe que complet un pan de la association, y pénétré l’Eglise, claustré d’amasser la courage, la discipline insupportable, les châtiments et les dommages à des vertus éducatives ».

Face à l’apparition de témoignages parmi les médias locaux, l’récent dirigeant de Garaison, Joseph Corteggiani, a offert fin février des « dysfonctionnements (…) d’un étrange étape », malgré de La Message du Midi. « Nous ne nions pas que, par le passé, à une étape où les punitions corporelles avaient conseil parmi les établissements scolaires (…), la obstination de affaisser aimer la discipline ait pu faire divers encadrants à y diligent convocation » , a direct à l’AFP un délégué de Garaison. « Autre étape, changées mœurs : depuis alors de vingt ans, ce acabit de punitions est complètement repoussé au hauteur de à nous banque », a-t-il subsidiaire.

Notre-Dame de Garaison, qui, suivant son secteur Internet, accueille vers 700 élèves, de la nursery à la terminale, circonspect entre ses élèves les alors célèbres l’révolu primitif consul Jean Castex, le grade Nobel de la mutisme 1952, Albert Schweitzer, et l’ex-international de rugby tricolore Pierre Berbizier.

Le Monde comme AFP

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