“Nous avons versé plus de 600 000 euros l’an dernier, et les élus ne nous rendent aucun compte” : lorsque l’destinée des hammam épouvanté les Axéens

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Rachetés en 2023 subséquemment principalement de trente ans de gouvernail civile, les hammam sont un soutènement avantageux du diocèse, au même convention que le ski. Pourtant, à elles gouvernail suscite de vives inquiétudes chez les habitants.

Chaque cycle, le thermalisme génère contre de six millions d’euros de quantité d’toilette à Ax-les-Thermes. Pourtant, depuis le amorcement d’Eurothermes, la gouvernail des établissements hydrominéraux suscite de vives décisifs. De quelques habitants dénoncent des florilège budgétaires contestables et une pourriture des tâches, rafraîchissant un crise vieillot.

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En 1993, subséquemment la insolvabilité du régisseur de l’moment, l’perte des onde thermales avait été concédée contre 30 ans à la Société thermale d’Ax (STAx) contre un euro spécifique. Trente ans principalement tard, différents Axéens craignent que l’conte se répète, alimentant des inquiétudes relativement à l’destinée de cette bâclent caractéristique contre l’gestion locale.

Des dépenses controversées ?

Depuis 2023, la gouvernail de l’crédit a été confiée à la Semttax (Société d’gestion composé thermale et touristique d’Ax-les-Thermes). L’éclairé, par son supérieur, licencié entre-temps, d’un équitable de 12 000 curistes annuels alors d’une association confirmée en juillet 2024 a laissé de quelques habitants sceptiques, particulièrement en cerveau des incertitudes financières qui entourent la bâti.

“La commune a injecté plus de 500 000 euros l’an dernier pour recapitaliser la Semttax. La même somme a été apportée par la CCHA. Au total, plus d’un million d’euros a été alloué à la société”, souligne un naturel. Pourtant, en décembre 2024, une faisandé de liquide de 110 000 euros a été votée par le entretien communal contre “couvrir les dépenses obligatoires”.

Un sauvetage bancaire qui alimente la antipathie de différents contribuables. “Ils n’avaient plus d’argent pour finir le mois”, s’agace cet Axéen. En exécutant : des dépenses jugées inconsidérées. “Ils ont acheté des milliers de gobelets en aluminium qu’ils comptaient vendre 15 euros pièce aux touristes. Résultat, ils dorment aujourd’hui dans des cartons. Ils ont aussi investi plus de 150 000 euros dans un bras de massage robotisé…”, dénonce-t-il.

Des tâches en coulée de presse

En principalement des monnaie, la compétence des tâches conte l’praticable de nombreuses décisifs. “Des hébergeurs nous ont signalé que plusieurs curistes sont repartis mécontents. Et cela se ressent sur la fréquentation : 3 883 curistes en 2024, contre 4 136 en 2023 et 3 971 en 2022, selon les chiffres de l’office de tourisme”, note-t-il.

Une circonstance constatée identiquement par Nicolas (*), naturel de la diocèse depuis principalement de 25 ans. “Notre société thermale part en décrépitude. J’ai l’impression qu’on vend du vent aux gens, vu qu’il n’y a plus de kiné. En plus, le bâtiment du Teich devait être rénové, mais ils ont fait marche arrière à plusieurs reprises. Cette année il n’ouvrira qu’entre le mois de juin et octobre, alors que d’habitude c’est de mars à novembre. Ça risque d’être difficilement gérable si le Grand Tétras doit accueillir seul tous les curistes”, abonde pendant lequel son azimut Nicolas.

Des inquiétudes

Pour Audrey (*), première embauchée des hammam, cette tache pourrait participer également liée à un conduite impécunieux. “Peu de temps après mon arrivée, j’ai vu partir des employés de longue date, souvent en arrêt maladie. On a fini par se retrouver avec du personnel en transition, venu uniquement pour relancer ses droits au chômage avant de repartir. Résultat, on passait notre temps à former des remplaçants, que ce soit à l’accueil, en soins, au ménage ou même parmi les maîtres-nageurs…”, raconte-t-elle.

Alors que la hôtel de ville défi sur le thermalisme contre détendre son gestion, les inquiétudes persistent. “Nous, les Axéens, avons versé plus de 600 000 euros l’an dernier, et les élus ne nous rendent aucun compte. On craint que la situation ne soit plus fragile qu’on ne le dit. Nous avons des réelles inquiétudes sur l’avenir du thermalisme à Ax”, clame un bordier.

Malheureusement, il serait bon de renfermer à l’intellect que ces décisifs tombent un an entrée les prochaines élections où une noble bibliographie devrait se énumérer parce que l’consortium sortante. Une affaire économie à l’paysage ?

(*) Les prénoms ont été différents

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