“On est complètement déconnecté” : les commerces et collectivités fustigent les délais de édification des zones d’activités

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Au cœur des débats alors du extrême conférence des maires du Gers, la fixation liée à la édification des zones d’activités pèse sur les communes et les commerces désireuses de s’placer entre le diocèse.

C’est une intercalation qui n’est pas disparue inaperçue alors du extrême conférence de l’Association des maires du Gers, élancé le 8 ventôse à Auch. Micro en droite, le juge de paix de L’Isle-Jourdain et administrateur de la ordre de communes de la Gascogne toulousaine, Francis Idrac, a vidé son sac concernant l’augmentation de la localité d’activités Pont-Peyrin III, qui doit s’redoubler de 4 hectares.

“L’achat a pris 10 minutes. Aujourd’hui, quand je me retourne vers l’État, et je vais être très sévère, on me dit que je dois repartir à zéro pour les études, ce qui veut dire 4 ans de plus, alors qu’on a des entreprises qui frappent à la porte. S’il faut que je refasse des études environnementales, loi sur l’eau, compensation agricole… Ça devient décourageant de faire des zones d’activités”, avait-il regretté.

A anéantir de la sorte :
Zone de Pont-Peyrin III à L’Isle-Jourdain : Francis Idrac dénonce des délais d’labeurs “trop longs”

Une semaine en conséquence ces prédication, l’bailli persiste et augure : “Qui crée de l’activité dans le Gers ? C’est l’est du département. Quand j’ai une entreprise qui vient chez moi, ça fait travailler des sous-traitants à Gimont, Cologne, Lombez… Ça irrigue le reste du territoire. Ça me scandalise qu’il faille autant de temps, de démarches administratives. Depuis 2014, ça s’intensifie. Les projets de construction deviennent interminables. Ce n’est pas possible”, peste-t-il.

“La difficulté à trouver du foncier pour se développer”

Le bilan est partagé par le lama bon marché logis, pendant le souligne le administrateur de la Chambre d’comptoir et de boîte (CCI) du Gers, Rémi Branet. “Quand je visite les entreprises, elles rencontrent deux principales difficultés : la première, c’est l’emploi, et tout de suite derrière c’est la difficulté à trouver du foncier pour se développer”, témoigne-t-il.

Au-delà du “Zéro artificialisation nette”, généralement pointé du orteil par les élus locaux, ce sont de la sorte les délais constitutionnels incompressibles qui jouent puis les nerfs des élus et entrepreneurs. “Quand il vous faut faire une étude loi sur l’eau qui est une étude quatre saisons, on perd déjà un an. Derrière, vous avez les études environnementales qui durent 9 mois, plus les délais d’instruction de permis de construire. Aujourd’hui, avec la vitesse à laquelle bouge l’économie, on est complètement déconnecté”, déclamatoire Rémi Branet.

La ZAC de Naréoux doit s’étendre sur une surface de 27 hectares.
La ZAC de Naréoux doit s’allonger sur une campagne de 27 hectares.
DDM – DDM SEBASTIEN LAPEYRERE

Pour le administrateur de la CCI du Gers, la fixation régulière avorté de mobilité. “Quand vous avez une entreprise qui frappe à la porte, il faut qu’elle ait un temps de réponse dans les 3 mois et que dans les 6 à 12 mois, elle puisse démarrer son activité. Quand on voit que là, on est à presque un an et demi en phase d’études, on manque totalement de réactivité.”

“On se doit également à notre époque d’être attentif à la nature”

Comme le lieu de L’Isle-Jourdain puis Pont-Peyrin, le Grand Auch attend lui de la sorte largement de la future ZAC de Naréoux, désignée à s’allonger sur une campagne de 27 hectares. Si les contraintes constitutionnels sont lourdes, pendant le reconnaît intelligemment le administrateur de l’accrétion, elles-mêmes ne sont pas dénuées de connotation revers tant. “La réglementation est exigeante mais on se doit également à notre époque d’être attentif à la nature et à l’évolution du climat en adaptant nos nouveaux projets”, relativise Bernard Pensivy.

Pour lui, somme toute, la avantage du modalités se grille préférablement sur les droits de subvention. “On est plus gêné sur les volets financiers et les incertitudes budgétaires qui pèsent sur nos collectivités que sur l’aspect réglementaire. On s’intéresse à la réglementation, aux questionnements à venir et on essaye de les anticiper autant que faire se peut”, conclut-il.

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