
Ce vendredi, les Drômois ont été battus là-dedans le Lot-et-Garonne, alors un entremise regretté par Fabien Fortassin.
Jamais les murs d’Armandie n’avaient pareillement tremblé cette période. Mais paradoxalement, ceci s’est passé du côté des visiteurs. Ce vendredi fête, Fabien Fortassin, imprésario de Valence-Romans, s’est montré là-dedans l’attente sur l’entremise de Vincent Blasco-Baqué, évoquant en simultané l’Histoire du SUA. “Si je suis un peu objectif, il a manqué une centaine d’années au VRDR, des titres de champion de France, une salle pour accueillir les arbitres comme il faut… Juste un peu de cohérence dans l’arbitrage aurait fait que, certainement, la fin du match aurait été différente. Il nous a manqué un passé.”
L’passé ludique technicien regrette de ne pas renfermer été récompensé. “Nous avons vu, il me semble, une équipe qui domine l’autre, le bras de l’arbitre qui a du mal à se tendre, une dernière mêlée où le 9 introduit directement dans les pieds du 8, un maul qui est étouffé et le ballon qui ressort avec une mêlée pour Agen… Il y a des décisions sur le money time qui me sont incompréhensibles. Il nous manque donc une centaine d’années et un passé.”
A dilapider de ce fait :
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Des discours éperdument forts. Selon l’passé imprésario de Tarbes, les déclarations de certaines légendes du night-club, là-dedans nos colonnes, ont de ce fait pesé alentour de cette duel. “Nous, on n’a pas des Benazzi ou des Sella qui parlent à la presse. On n’a pas ces gens-là qui peuvent mettre la pression sur l’arbitre, mais il faut savoir jouer avec. Les Agenais, qu’ils ne soient pas inquiets, ils se sauveront. Il y aura des gens qui les protégeront.”
Sept pénalités à une en commencement amplitude
Pour comporter ces discours, Fortassin s’est prononcé “sur la première mi-temps”. “Sept pénalités contre nous, une seule contre Agen, alors qu’on tient quand même le ballon. Il y a des séquences longues, des grattages récompensés qui ne méritent pas d’être récompensés… Après, nous, nos fautes existent, il n’y a aucun souci là-dessus. Les pénalités qui ont été sifflées contre nous, il n’y avait aucun problème là-dessus. Mais il y en a certaines qui auraient dû être aussi sifflées de l’autre côté.” La commencement condamnation auprès le Sporting a en rendement été sifflée, document bizarre vers nature scandé, là-dedans le date additif de la commencement amplitude, donnant l’aubaine à Lucas Méret de rendre les siens à un porté à la délai (16-15, 40e+2).
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“Mais c’est surtout sur les dix dernières minutes que j’ai le plus de regrets”, avoue Fortassin. Questionné de ce fait sur nombreux supposés plaquages hauts non sifflés de ses nation tandis de la duel, le constructeur s’est montré éperdument intelligible. “Si c’est au niveau des épaules, ce n’est pas un plaquage haut. Le seul qu’il y a eu, il a été sanctionné. Il y a eu la même faute sur le plaquage à retardement, où le joueur a pris le carton jaune. Mais ce n’est pas parce que le public crie qu’il y a un plaquage haut. Vous savez cela. Plaquage haut, c’est plaquage au cou. Au-dessus des épaules. Un plaquage à l’épaule, ce n’est pas un plaquage haut.”
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