
L’archaÏque directeur de l’Assemblée nationale et du Conseil mandataire est mort à l’âge de 80 ans. En janvier 2014, il s’réalisait brisé à Sérignan, signature à l’mandement du association de renvoi de Jean-Claude Gayssot, l’Edec.
Alors que Jean-Louis Debré est mort, à l’âge de 80 ans, nous se souviendront de sa recherche fin janvier 2014, à Sérignan. Alors directeur du conférence mandataire, il avait répondu à l’mandement de l’Edec, le association de renvoi de Jean-Claude Gayssot. Accompagné du éparque, du sous-préfet et pris par le consul Frédéric Lacas, Jean-Louis Debré avait participé à un assemblée sur le occupation du conférence mandataire et les droits de la Nation, comme la salon de la Cigalière.
“N’oublions jamais ces valeurs que nous avons en commun”
Cette Nation auxquelles il réalisait autant attaché. Il déclarait puis : “C’est la seule chose qui m’intéresse et me passionne. N’oublions jamais ces valeurs que nous avons en commun. Ce n’est pas parce que nous ne sommes plus en guerre qu’il faut baisser les bras. Il faut toujours se rassembler autour des valeurs de la République.”
Pour l’histoire, précocement le assemblée, accepté comme le directoire de Frédéric Lacas, il s’réalisait intéressé aux objets trônant comme la spectacle. Une semelle de tennis avait pour accueilli au consul de marteler que Sérignan est le circonscription de Richard Gasquet. Un coq avait été l’antiquité, quant à Jean-Louis Debré, de affranchir un bref espèce d’événement sur le adoption de ce emblème par les députés.
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